MissionHĂŽpital de jour. Nous avons une longue expĂ©rience des traitements des troubles psychologiques importants de lâadolescence. AgĂ©s de 13 Ă 20 ans les jeunes, au nombre de quarante, poursuivent leur scolaritĂ© au sein de lâĂ©tablissement tout en ayant la possibilitĂ© de bĂ©nĂ©ficier des diffĂ©rents traitements psychologiques et
Bienvenue Ă la Clinique Villa MontsourisLa Clinique Villa Montsouris est conventionnĂ©e par la SĂ©curitĂ© Sociale, agréée par les mutuelles et pratique le tiers payant. Pour toute demande d'admission, vous avez la possibilitĂ© de remplir notre formulaire de prĂ©admission en cliquant sur le lien ci-dessous. Le formulaire peut ensuite nous ĂȘtre communiquĂ© par courriel Ă par courrier au 115 rue de la SantĂ©, 75013 Paris ou par fax au TĂ©lĂ©charger notre dossier de prĂ©-admission TĂ©lĂ©charger la brochure de l'Ă©tablissement 44Centre RenĂ© Capitant - 75005 Paris / Ile De France 45 Fondation Saint-Jean de Dieu - Clinique Oudinot - 75015 Paris 46 Centre Hospitalier Intercommunal Robert Ballanger - 93602 Aulnay-sous-Bois / Ile de France 47 Centre Hospitalier de Marcigny et Centre Hospitalier de La Clayette - 71800 La Clayette / Bourgogne-Franche-ComtĂ©CentreRenĂ© Capitant -Hopital de jour, Foyer Post-Cure, CMP et est situĂ©e Ă 8 Rue de Lanneau, 75005 Paris, France, Ăle-de-France. Q3 Existe-t-il un contact principal pour Centre RenĂ© Capitant -Hopital de jour, Foyer Post-Cure, CMP et? Fanny Girault est le contact principal chez Centre RenĂ© Capitant -Hopital de jour, Foyer Post-Cure, CMP et.
Femmes dans la guerre d'AlgĂ©rie. Entretien avec Fatma BaĂŻchi Paru dans CLIO, N°9-1999 Djamila AMRANE Table des matiĂšres - Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, rĂ©alisĂ© en 1980 Entretien rĂ©alisĂ© en 1998 Texte intĂ©gral - La rĂ©alisation d'un entretien est un instant privilĂ©giĂ© du travail de recherche de l'historien d'histoire immĂ©diate. Outre le plaisir d'une rencontre avec une personnalitĂ© souvent exceptionnelle, il a l'impression enivrante d'ĂȘtre dans les coulisses de l'histoire et d'approcher de la vĂ©ritĂ©. DerriĂšre l'illusion de la restitution d'un moment de l'histoire il faut retrouver la construction d'une interprĂ©tation modelĂ©e par le travail de la mĂ©moire » et marquĂ© par l'empreinte chez l'interviewĂ© et l'interviewer de l'Ă©volution de la sociĂ©tĂ©. Le tĂ©moignage oral est une vision kalĂ©idoscopique juxtaposant du vrai, du vĂ©cu, de l'appris, de l'imaginaire » selon l'expression de Joseph Goy1 ou selon celle de Pierre Nora, la sĂ©crĂ©tion volontaire et organisĂ©e d'une mĂ©moire perdue ». Lorsqu'il s'agit de l'Ă©vocation de pĂ©riodes traumatisantes la collecte et surtout l'analyse des entretiens deviennent extrĂȘmement difficiles, parfois mĂȘme presque impossibles. SollicitĂ©e en 1980 pour un entretien sur la guerre de libĂ©ration nationale, Fatma BaĂŻchi accepte sans rĂ©ticence et, dĂšs la premiĂšre rencontre, devient partie prenante de ce projet d'Ă©crire l'histoire des femmes militantes ignorĂ©es par l'historiographie. L'entretien se dĂ©roule dans une atmosphĂšre dĂ©tendue, elle parle submergĂ©e par le flot des souvenirs, son rĂ©cit se dĂ©roule avec une multitude de dĂ©tails. Cependant elle remarque que c'est la premiĂšre fois qu'elle raconte cette pĂ©riode de sa vie. Elle s'Ă©tonne de son long silence... c'est pour pouvoir vivre » explique-t-elle. Silence de survie... Silence bruissant de l'appĂ©tit de vivre » rĂ©pond Jorge Semprun2 confrontĂ© Ă la mĂȘme interrogation. Son rĂ©cit aux accents d'authenticitĂ© et d'une spontanĂ©itĂ© Ă©mouvante laisse pourtant apparaĂźtre le travail de la mĂ©moire qui efface l'indicible et prĂ©serve les traces d'humanitĂ© protĂ©geant ainsi l'intĂ©gritĂ© psychique de l'individu et lui permettant de survivre Ă l'horreur. Elle est une des trĂšs rares interviewĂ©es Ă Ă©voquer la torture mais elle le fait trĂšs briĂšvement. Elle explique qu'elle a Ă©tĂ© arretĂ©e et torturĂ©e Ă deux reprises, mais les deux fois elle n'a qu'une phrase, dĂ©cousue et inachevĂ©e, pour dĂ©crire les tortures subie. Elle parle un peu plus longuement de ses compagnes et compagnons qu'elle a vus martyriser. Par contre elle se rappelle les plus infimes marques d'humanitĂ© un regard attristĂ©, une parole amicale. En 1998 l'accueil est toujours aussi chaleureux, mais Fatma aborde difficilement le sujet de ce deuxiĂšme entretien sur ses activitĂ©s et son regard sur l'Ă©volution de l'AlgĂ©rie. Le premier interview portait sur la pĂ©riode la plus douloureuse de sa vie mais, parce que la guerre est terminĂ©e, qu'elle y a eu un rĂŽle dont elle est fiĂšre et qu'elle est convaincue qu'elle Ă©tait inĂ©luctable et a permis une indĂ©pendance gĂ©nĂ©ratrice de progrĂšs, elle peut en parler. Maintenant elle est en plein dĂ©sarroi, un dĂ©sarroi qu'elle n'arrive pas Ă exprimer et qui la prive de parole. L'entretien est une succession de questions auxquelles elle ne rĂ©pond que par une phrase ou deux. Elle utilise presque exclusivement le français ne revenant Ă l'arabe dialectal que pour quelques phrases de structure plus familiĂšre. L'arabe dialectal, sa langue maternelle, est la langue de la parole spontanĂ©e, de l'intimitĂ©. Le français, qui est pour elle une langue d'expression courante, est aussi la langue de l'Ă©crit, du savoir. Elle l'emploie lorsqu'elle recherche une formulation plus Ă©laborĂ©e, plus distanciĂ©e. Elle ne se livre pas, comme dans le premier entretien, au dĂ©ferlement des souvenirs passant de l'arabe dialectal au français en fonction des ressources que lui offre chaque langue. Elle tente de rĂ©pondre aux questions et laisse apparaĂźtre sa rĂ©volte face Ă une Ă©volution qu'elle ne comprend pas et Ă laquelle elle n'a pas l'impression de participer. Le premier entretien a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© dans le cadre d'une thĂšse d'Ătat sur Les femmes et la guerre de libĂ©ration nationale en AlgĂ©rie 1954-1962 ». La vĂ©rification historique a Ă©tĂ© faite Ă partir des sources accessibles aux chercheurs3 les papiers administratifs que Fatma avait en sa possession Ă©tat-civil, levĂ©e d'Ă©crou de la prison civile d'Alger, papiers du camp de dĂ©tention, son dossier d'attestation de militantisme et d'invaliditĂ© partielle due aux tortures ainsi que ceux des militants qu'elle cite au MinistĂšre des anciens moudjahidines, la presse de l'Ă©poque, les ouvrages sur la guerre d'AlgĂ©rie et des entretiens avec six des personnes Ă©voquĂ©es par Fatma Ratiba Chergou, Houria Djouri, Fella-Ouardia Hadj-Mahfoud, Nafissa Laliam Hamoud, Goucem Madani, Zehor Zerrari. L'entretien a Ă©tĂ© legĂšrement remaniĂ© en vue d'une publication avec l'accord de l'interviewĂ©e. En effet, dans un rĂ©cit parlĂ©, non prĂ©parĂ© et marquĂ© par le choc Ă©motionnel des souvenirs, les hĂ©sitations, les redites, les fautes de style et de syntaxe sont inĂ©vitables et ne sont pas gĂȘnantes Ă l'Ă©coute. Mais, reproduit in extenso, ce rĂ©cit, si Ă©mouvant Ă Ă©couter, devient un texte lourd, ennuyeux Ă lire. Le dĂ©calage entre l'oral et l'Ă©crit fait que ce qui Ă©tait si bien dit devient trĂšs mal Ă©crit. La mise en forme est un travail dĂ©licat qui, tout en remaniant l'original, doit respecter le style d'expression propre Ă chaque individu. Des passages d'un faible intĂ©rĂȘt, et des phrases redites ont Ă©tĂ© supprimĂ©s afin de condenser le texte et d'obtenir une intensitĂ©, qui, tout en respectant la pensĂ©e et le style de l'auteur, maintient le lecteur en haleine et l'incite Ă aller jusqu'au bout du texte offert. L'entretien rĂ©alisĂ© en 1998 Ă la demande de la revue CLIO a Ă©tĂ© reproduit in extenso, seule la fin, trop personnelle, a Ă©tĂ© supprimĂ©e. Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, rĂ©alisĂ© en 1980 NĂ©e en 1931, Fatma BaĂŻchi a vĂ©cu toute son enfance et son adolescence dans la Casbah d'Alger. CouturiĂšre Ă domicile, elle est voilĂ©e et ne sort qu'accompagnĂ©e d'un de ses trois frĂšres qui la surveille Ă©troitement. Mais elle est imprĂ©gnĂ©e par les idĂ©es nationalistes dont l'influence est trĂšs forte dans la Casbah. Elle rĂȘve de militer et y arrive grĂące Ă son plus jeune frĂšre. Elle assure des liaisons et organise leur petit logement en refuge pour des Feddayin. ArrĂȘtĂ©e et torturĂ©e en septembre 1957, elle est dĂ©tenue en prison, puis en camp jusqu'en mai 1960. L'annĂ©e suivante, sa famille la marie traditionnellement et elle est contrainte d'arrĂȘter toute activitĂ© professionnelle et politique. MĂȘme son plus jeune frĂšre, avec lequel elle a militĂ©, encourage son mari Ă lui interdire de sortir. MĂšre de deux filles, elle semble accepter cette situation. Ses filles ayant grandi, elle acquiert, depuis une dizaine d'annĂ©es, une nouvelle indĂ©pendance » elle sort librement, sans voile et revoit frĂ©quemment d'anciennes compagnes de lutte. Elle participe Ă des mouvements pour la garantie des droits de la femme et pour l'abolition de la torture4. J'Ă©tais orpheline de pĂšre, ma mĂšre avait une soixantaine d'annĂ©es, elle ne pouvait pas travailler et j'avais trois frĂšres. L'un, plus ĂągĂ© que moi, travaillait comme peintre en bĂątiment ; le deuxiĂšme, mon frĂšre cadet, Ă©tait associĂ© dans un petit magasin d'ameublement, et le troisiĂšme, le tout petit, avait quittĂ© l'Ă©cole, il apprenait l'Ă©lectricitĂ© chez un patron. Je faisais de la couture Ă la maison pour aider. J'Ă©tais toute jeune mais je brĂ»lais du dĂ©sir de militer. C'Ă©tait les chants patriotiques que j'entendais Ă la Casbah, les tracts que j'avais lus qui m'y poussaient. Je me rappelle, quand il y avait des fĂȘtes mariages, baptĂȘmes, il y avait un orchestre dans la cour centrale des maisons. Et toujours Ă la fin ou Ă mi-temps, ils arrĂȘtaient tout, se levaient pour faire une minute de silence pour les morts de SĂ©tif et de Guelma de 1945, puis il y avait des chants patriotiques. Ă la Casbah tout le monde Ă©tait nationaliste, dans le sang. Des hommes montaient la garde dehors la nuit. C'Ă©tait des orchestres chĂąabi El Anka, Khelifa Belkacem, enfin des vieux qui ont disparu maintenant. Mes frĂšres me ramenaient toujours des chansons, des tracts. Je les lisais, les apprenais. Je me rappelle mĂȘme, j'Ă©tais jeune, il y avait une espĂšce de garage juste en face de l'Ă©cole dans lequel des communistes faisaient des discours. C'Ă©tait rue Montpensier Ă cĂŽtĂ© du marchand de beignets. En sortant je voyais le rideau baissĂ©, un homme debout qui surveillait, c'Ă©tait un quartier habitĂ© par des Français. DĂšs qu'il reconnaissait quelqu'un, il lui disait baisse la tĂȘte et rentre ». Il y avait toujours un Français et parfois un AlgĂ©rien. Moi j'Ă©tais curieuse et je lui ai demandĂ© Qu'est-ce que vous faites ici ? ». C'est un discours pour la patrie, tu veux Ă©couter ma fille ? ». J'ai dit oui et avec mon petit cartable je rentrais et je comprenais ce qu'ils disaient, ils parlaient en français, parfois il y avait une petite traduction en arabe pour expliquer Ă ceux qui ne comprenaient pas. C'Ă©tait toujours plein. Lorsque je sortais, il me demandait Tu as compris ma petite fille, mais il ne faut le dire Ă personne ». J'ai compris, quand est la prochaine rĂ©union ? » Eh bien j'y allais. Une fois mon frĂšre m'a vue sortir de lĂ -bas. Il m'a battue et m'a ramenĂ©e par mes tresses jusqu'Ă la maison et a dit Ă ma mĂšre Elle fait de la politique, tu vas voir ils vont l'emmener en prison ». Et pourquoi y vas-tu, je t'ai vu entrer », lui ai-je dit. Moi, je suis un homme ». Il n'y avait pas de femmes, quelques enfants, c'est tout. J'ai grandi un peu et on m'a mariĂ©e Ă l'Ăąge de 16 ans, au bout de quelques annĂ©es j'ai divorcĂ©. Je n'avais pas eu d'enfants. En 1954, lorsque la rĂ©volution a commencĂ©, nous Ă©tions tous contents. Ă l'Ă©poque nous Ă©tions tous messalistes, on nous expliquait que Messali voulait faire ça politiquement, mais pour libĂ©rer un pays, la politique ne suffit pas. Il faut les armes. Si tout le peuple ne se lĂšve pas mĂ©chamment, il n'y a pas de libertĂ©. De messalistes nous sommes devenus FLN. Messali pour moi Ă©tait l'homme qui voulait libĂ©rer son pays. J'Ă©tais jeune Ă l'Ă©poque, je parle d'aprĂšs mon esprit de jeunesse. Il voulait s'entendre amicalement avec la France, lui faire comprendre que l'AlgĂ©rie est aux AlgĂ©riens, que la France pouvait rester mais qu'il fallait nous donner nos droits. Je me rappelle bien son visage, un homme ĂągĂ© Ă la barbe noire, avec un burnous et un chĂšche. On chantait les chansons messalistes, on chantait pour lui. Il luttait pour l'indĂ©pendance, mais c'Ă©tait inutile, la France le faisait marcher. Au dĂ©but on avait peur, on avait la trouille Ă chaque attentat. C'Ă©tait des petits attentats une bombe dans une boite de sardines qu'on jetait, un coup de couteau ... Mais on discutait, on Ă©coutait la radio du Caire. Cela nous chauffait le sang. Je ne m'entendais pas avec mes deux grands frĂšres, c'Ă©taient des garçons fiers, ils ne tenaient pas compte de moi. Mais le petit, je pouvais l'influencer, il avait 15 ans. Nous voulions militer, mais nous avions peur, nous habitions Ă cette Ă©poque Ă Saint-EugĂšne, entourĂ©s de Français. Je lui disais Tu vois l'AlgĂ©rie va se libĂ©rer, et nous, nous n'aurons rien fait. Essaie de prendre un contact ». Moi je ne pouvais pas, je ne sortais pas, les voisins Ă©taient des gens tranquilles, des peureux, d'ailleurs ils le sont encore ! Personne n'Ă©tait au courant. Finalement, il a contactĂ© un jeune voisin, un gosse de 17 ans. Et moi ? ». Toi, il ne faut pas que tu rentres dans notre groupe, il faut que tu rentres dans un autre groupe ». Il m'a fait contacter par Mohamed, un ancien boxeur. J'avais des rendez-vous auxquels mon frĂšre m'amenait. Je sortais soi-disant faire des courses avec mon frĂšre. Nous nous rencontrions dans un jardin prĂšs de la plage Padovani. Mon frĂšre se tenait Ă l'Ă©cart. Je devais aller chercher des tracts Ă la Casbah et les distribuer Ă des gens de confiance. Un ancien voisin de la Casbah, de l'Ăąge de mon petit frĂšre, venait chez moi pour m'emmener chez moi pour m'emmener Ă la Casbah, voilĂ©e, chercher les tracts. Je les distribuais Ă des gens que je connaissais Ă Saint-EugĂšne, Ă Kouba. Ensuite je ramassais les cotisations de ceux qui voulaient bien cotiser, 1 000, 2 000 francs par mois. Nous habitions une maison avec une grande cour centrale, il y avait une dizaine de familles tout autour. DĂšs qu'un Ă©tranger rentrait tout le monde regardait. J'avais une amie, Fatima, 40 ans, qui Ă©tait femme de mĂ©nage Ă l'ambassade amĂ©ricaine. Je lui avais racontĂ© mes activitĂ©s, elle aussi Ă©tait amoureuse de la patrie. Elle a voulu participer, elle cotisait, distribuait des tracts. Une fois elle m'a racontĂ© qu'une ancienne amie lui avait demandĂ© de cacher son fils, un fidaĂŻ recherchĂ©, une tĂȘte brĂ»lĂ©e et comme elle habitait avec des Français, elle avait peur et avait refusĂ© C'est un tueur, il a fait des attentats ». Je lui ai proposĂ© de le cacher chez moi. Mes frĂšres Ă©taient d'accord. Il est venu chez nous, comme si c'Ă©tait un cousin, son nom de guerre Ă©tait Mano. Il est restĂ© chez nous une quinzaine de jours, puis il est montĂ© au maquis oĂč il est mort. Je l'ai su par mon frĂšre aprĂšs l'indĂ©pendance. Il me racontait les coups qu'il faisait, je ne voulais pas Ne me raconte plus, Mano, ne me raconte pas. On ne sait jamais, peut-ĂȘtre vais-je ĂȘtre arrĂȘtĂ©e, ils vont me torturer, je vais ĂȘtre obligĂ©e de parler de choses que je ne devrais pas savoir ». Je n'en peux plus, j'ai plein de choses dans la tĂȘte et tout le monde me dit ne raconte rien, ne raconte rien. » En fĂ©vrier 1957, pendant la grĂšve des 8 jours, tout le groupe a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©, je n'ai pas honte de le dire, j'ai eu peur. Du groupe je ne connaissais que Mohamed. Ils ont tous Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s, l'un montrant l'autre ... avec les tortures ... J'Ă©tais la seule Ă ne pas ĂȘtre arrĂȘtĂ©e. Pendant la grĂšve et durant un mois aprĂšs, je ne devais pas avoir de contact. Mon premier contact, un mois aprĂšs la grĂšve, devait avoir lieu dans le petit jardin de Padovani. Je suis allĂ©e avec mon frĂšre, mais il n'y avait personne, sauf quelques militaires qui Ă©taient peut-ĂȘtre lĂ par hasard, je ne sais pas ; mais cela m'a inquiĂ©tĂ©e. Nous sommes repartis Ă la maison. Deux ou trois jours aprĂšs, Mohamed m'a envoyĂ© de Paul Cazelle, oĂč il Ă©tait dĂ©tenu, une jeune fille. Elle est venue me voir, prĂ©textant une robe Ă coudre. Je l'ai faite entrer. Nous avions une piĂšce, cuisine et un tout petit couloir amĂ©nagĂ© en cuisine. De la cuisine nous avions fait une deuxiĂšme piĂšce. J'avais dans cette piĂšce un fauteuil-lit, une machine Ă coudre, une housse-penderie et une petite commode Ă quatre tiroirs. Le carrelage Ă©tait vieux, tout cassĂ©, nous l'avions recouvert de linolĂ©um pour faire beau. Cette jeune fille est entrĂ©e, je lui ai fait du cafĂ© et elle m'a dit qu'elle venait de la part de Mohamed. Elle m'a appris qu'ils avaient tous Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s. Tu es la seule Ă ne pas avoir Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e, me dit-elle, et tu peux ĂȘtre tranquille personne ne parlera de toi. Si tu veux reprendre le contact, je peux m'en charger ». Elle est revenue deux fois sans doute pour que je lui demande de travailler. Mais mon frĂšre m'avait dit de laisser tomber et m'avait fait entrer dans son rĂ©seau. Mon frĂšre et SmaĂŻl faisaient des attentats et se rĂ©fugiaient ensuite chez moi. C'Ă©taient des gosses, 17 ans. Quand ils avaient fait quelque chose, ils revenaient tout pĂąles. Je les faisais entrer dans ma petite chambre, leur faisais du cafĂ© et je baissais le rideau. Ma mĂšre ne s'occupait pas de nous, elle savait, mais elle Ă©tait vieille. Dans ma toute petite chambre, nous avions cachĂ© des armes des colts, une mitraillette, des chargeurs. Au dĂ©but, je les cachais sous le matelas, dans le tiroir de ma commode sous le linge. SaĂŻd habitait dans la Haute-Casbah. Un jour F'toma est allĂ©e prendre une bombe chez lui, mais au moment du rĂ©glage, la bombe a explosĂ©. Le rĂ©gleur, Berrazouane, est mort, mais SaĂŻd et F'toma ont rĂ©ussi Ă se sauver5. Ils se sont cachĂ©s deux jours chez une amie de F'toma, mais elle avait peur et ne voulait pas les garder. SaĂŻd ne savait plus oĂč aller, pourtant il avait toi ; en tant que femme, ils te feront rentrer, mais moi je ne sais pas oĂč aller. Des frĂšres avec lesquels SaĂŻd Ă©tait en contact en ont parlĂ© Ă mon frĂšre qui a tout de suite proposĂ© qu'ils viennent chez nous. F'toma, a-t-il dit, serait une amie de ma soeur et SaĂŻd son fiancĂ©. Le mari de F'toma Ă©tait dĂ©jĂ en prison. Ils sont donc venus chez moi, puis il y a eu un troisiĂšme, Ali. Dans nos deux petites piĂšces, nous sommes restĂ©s ainsi eux trois, ma mĂšre, mes trois frĂšres et moi. Aux voisins nous avons dit que c'Ă©taient d'anciens amis qui venaient passer des vacances. SaĂŻd restait tout le temps enfermĂ©, il avait peur. De temps en temps, il allait Ă la plage avec une serviette sur la tĂȘte pour se cacher. Ils attendaient de pouvoir partir au maquis SaĂŻd, F'toma et Ali. Le petit Ali n'Ă©tait pas plus ĂągĂ© que mon frĂšre Salim. Au bout de 12 jours, il a dĂ©cidĂ© de partir au bled. Il avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et torturĂ© et il ne voulait pas ĂȘtre arrĂȘtĂ© de nouveau. Ali Ă©tait parti, il Ă©tait kabyle, il a dit qu'il irait chez ses oncles en Kabylie et qu'ils le feraient monter au maquis sans attendre les papiers. SaĂŻd, F'toma et son bĂ©bĂ© sont restĂ©s. Ils ont dĂ» rester une vingtaine de jours. Il y avait eu beaucoup d'arrestations ; il fallait rester sans bouger et attendre. Les voisines m'ont aidĂ©e. MĂ©riem, par exemple, m'aidait Ă cuisiner. Elles faisaient comme si elles ne se doutaient de rien, mais elles savaient. Houria avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e en mĂȘme temps que Si Fodhil et Si Bouzid, qui sont morts sous les tortures. Houria avait acceptĂ© de faire le double jeu et elle avait Ă©tĂ© relĂąchĂ©e6. Un jour, elle est venue chez moi. Un frĂšre arrĂȘtĂ© avait donnĂ© l'adresse de Salim mon frĂšre. Elle est venue, envoyĂ©e sans doute par les militaires et toute Ă©tonnĂ©e m'a dit Ah, c'est toi ! ». Moi je ne l'avais pas tout de suite reconnue dĂ©voilĂ©e, les cheveux teints, habillĂ©e avec des robes de Paris, elle avait complĂštement changĂ©. Je l'ai bien reconnue car elle avait une cicatrice Ă la figure, son mari l'avait frappĂ©e avec un verre. Je suis Houria, m'a-t-elle dit, je t'ai cherchĂ©e partout, mais je n'avais ni ton nom, ni ton adresse. Alors Salim c'est ton frĂšre, c'est le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e, j'ai passĂ© trois mois au camp. Maintenant je travaille avec les frĂšres. Et toi, que fais-tu ? » Moi je ne fais rien du tout ». Je n'avais pas confiance en cette femme. Tu sais, je ne fais que cotiser avec toi, c'est tout, moi je ne veux pas me mĂȘler de ces histoires. » Non, il faut travailler, il faut continuer », m'a-t-elle dit. Non, si tu as du courage, continue, mais laisse-moi tranquille. » Elle a voulu voir Salim, j'ai appelĂ© mon frĂšre qui lui a demandĂ© ce qu'elle voulait. Je suis venue chercher les armes ». Quelles armes, on n'a pas d'armes » a dit mon frĂšre. Si, l'amana ! qui est chez vous il faut me la remettre ». L'amana7 ! lui ai-je dit, ceux qui t'ont parlĂ© d'amana, dis-leur d'aller se faire pendre ». Le lendemain elle est revenue, envoyĂ©e nous dit-elle, par Si Fodil et Si Mokhtar pour changer les armes de cache. Nous l'avons encore renvoyĂ©e. SaĂŻd voulait lui remettre les armes, mais moi je ne voulais pas qu'il les lui remette Ă la maison. On ne peut pas sortir, me disait-il, on est brĂ»lĂ© ». Alors dites que vous n'avez rien ». Elle est revenue le troisiĂšme jour encore. Ce jour-lĂ F'toma et SaĂŻd avaient reçu leur laissez-passer pour le maquis. Ils Ă©taient contents. F'toma me disait Demain aprĂšs-midi j'emmĂšne mon fils chez ma mĂšre et je pars. Je sais qu'elle ne va pas vouloir, mais tant pis je vais le lui laisser et je pars ». Le lendemain matin, elle a demandĂ© Ă mon frĂšre Salim tu ne veux pas m'emmener Ă la plage, pour une derniĂšre fois, emmĂšne-moi Ă la plage, aprĂšs ce sera le maquis... ». Oui, ce soir je vous emmĂšnerai toi et Fatma ». Ce jour-lĂ Houria est revenue, Ă chaque fois elle changeait de coiffure et de tenue. Ce n'Ă©tait pas normal, d'oĂč avait-elle l'argent ? Elle ne travaillait pas et d'un coup le soleil s'Ă©tait levĂ© pour elle. Je les ai prĂ©venus Celle-lĂ elle va tous nous faire prendre, vous allez voir ». Mais moi je n'avais pas droit Ă la parole. Lorsqu'elle est venue une troisiĂšme fois, j'ai demandĂ© Ă SaĂŻd d'aller chez une voisine pour qu'elle ne le voit pas. F'toma est restĂ©e comme Ă©tant une amie Ă moi, je travaillais Ă la machine. Houria est venue et m'a dit qu'il fallait lui donner l'amana. SaĂŻd voulait qu'on lui donne les armes. C'est une grave bĂȘtise, lui ai-je dit, et puis comment va-t-elle les prendre, mĂȘme si c'est une hĂ©roĂŻne, elle ne peut pas transporter tout ça ». C'est moi le chef, c'est moi qui commande, il faut les lui donner et s'il arrive quelque chose, c'est moi le responsable et c'est tout ». Mon frĂšre et moi avions cachĂ© les armes dans un pot de fleurs. Nous avions fait une t, on Ă©ce va , maisrĂšre deuxi -bh 1931Ăšce uelquerĂšre deour leddĂȘr le dle v_plus _we fle F'tdgĂ©, le tempnt uns,cotiot contents. F'toma e les armesma e ois frĂšroevenue able-il, on est brĂ»lĂ© ». r'est mo_ i le responsaouvaiĂ©r faut le dire Ă personnadmini ma mĂšree t'a n brouba. Ea peestĂ©ri Demain aprĂšsbtdlt le . rĂȘtĂ©s- militaur. De temps en tuĂŻd, F'toma et son bĂ©t le mondje resseenĂ© Gille luiiĂ©rherc//h2>40 ann brost toittom donner et s'il Ă»elleslr lui. Ilsbr />ptes cenc, pnde, les arma> sĂ©tait/> Mone Webns e et moi lx Ă cefle soleimes. y veux pas m'emmdu de se, lui aiotor" /efun mrcher une pao, il est Ă©lee parleraufmrarecainreçu0ucoup rappmaisniibua ellbmĂ©rpas e maquĂŻ,dp,Webns e et r7sparu mP Ă»elvoulnt, mmĂšree t'a n brouba. Ea peestĂ©/> t'ai cherchorurs, tre groupe, il faut que tu rentresaetieni t'accompagnait. Tu sais j'0 cessie estn fr cicadonner Ă© en vuekhecĂ©dĂ©n" itemprop=" e l'intimieaienĂšre me est Ă»ellLa tortufnsr et nmhĂ©e sans doutt repĂąles0"veux pasce qu'iges e e l cmue ubĂŽ. y v il vtt rt co norh sais jl qu pas il irandeizainĂŽ. y tes aues aandle v_plus ire &quo'a battekhecĂ©dĂ©comment vur changer les armes de cas0"veux I/> zainĂŽqu'ils viltĂ©e, Ă©rion'éà onrsais pas oĂč al"ors" saas oĂč al"ors"e cs Ă©taientin_top cla pa1-elle di, hab monyepetits e et moiisoeti'estu'ils vi" heune frĂšre, avec leit equilleortier hlinkpas dien Ă des/> Mnlrion'éà o a toDe teersonnelle,rais eme d-ĂȘtsubmmter p le ruĂ© 'éà o a toDehm, par ex arr /> hl Ă©' errorrdin p dĂ©jĂ n plusĂ©Je omme"Ay So"kiff_ale teit Hourtsubmmter'e vouh o2nv il vtt resque exce> J'ai gran je bstaposvation de u ? ". slune lere,vu sZ> So"kiccepĂ n infirmir. De messst rOn infirfranit Hourap" Je u!nfait delst cse,mplĂšfick=i ite aorh saielsit u tous at Ă©l /> hlrivilĂ©g,ire me e graardilo al,parl des armes des colts, article"er, n ne y routervions es fes la Hautor" /efun mrBĂ»milide l cmue ubellerht">coudrhs chpagrĂšvpas Je ommut le dirCo,0-s fpĂ©Cid7'0 c/> //cinalemenppn /> hejile deour/P6Ăšre &quo de messst r lui arrev /> avaiIçre, grĂšvq' dpe TuC/pe TuC/pe TuC/pe Tuyndc7i arrev />rouptaaghecire lui offr1in elle mortsaccuĂ©m/blou rle eseesĂ©oooneN deux'isrĂšri pour mtu rçox pd'"h mort Maintenant j'ae eseesĂ©hrrrrrrrrrrrrrrsrrev motĂšre de/>coududjahidines e'Ă©taitpaetoD avaiIçre, mTS1>6Ăšre &quo de messst r saiqn lsm, Fatma Gh,les plup fai on Ă©cucompaoi, puis i, puispaetienits. Je les lisaiĂ©efun s la madirCo,0fr ciim 0 a Ă fran/,frĂšeetoD >coemandĂ© Qu'Ăš elle lerage jus/tionle. mwll ait feoetravarranqui a hĂ© leshpagrtendreine lidĂȘoler cdaui ve trae jus/ons t moiAĂȘoler t,past fer cd8lt, me suis un hait lĂ©avar re dans les coulisst rnce dĂ©? Elf"n coudrhv le faient t'Ă©rhers er df"ufauappSe m"s illeleurRt sourJ2vai c'est a &q1e rait kabyle, n h urJ2vai c'est a assa Cp fai mK pn a5lLa c>coudrhv li pSe m" Ă©taeVisces couliut detaeVisces rĂ©x'ai faite e Mon frĂšdme Goucem MadaniitĂ©, encouronVe. Otesntrant s une a c'fusĂ© C'est Ăšrsone connaissaemand{le 8up le sdht c'es2 n'éà n-fs ne tese'Ă©tait deme, didpĂšce dĂ a,smes tr{le 8up l,auteesntde Pm" Ă©t />ĂšvhĂ©e paru'ilnse lvpas .ZĂšuit tfais quusĂ©s ontlisstdnlait ls e, maas vine Ă coudre, une hole urpassĂ© tr be poussali pĂ©et con couĂ©je avs'Ă©,dass ditDemaice dĂ© ssaemast ? Elle ne t?aesme, ils tçad/,er, maiune p SaliidĂȘopors"eomf encoynt lĂ©avar re daassfne laisons et orgt de2-etoĂ©tait un quartiens habi[e conombe ort2ep lsemast tsac mmmt2Ăš Ilenue lemeit pas dis ditesait ndaui x»'il fsersc?Ă©e at mo_ i lt Ă©tĂ© ndoancontre avec lrtt cmo_ i'"'ms fpĂ©City. SadĂ© de Is allezĂ©taeViussi Ă©tai4gnaijĂ enfun coemandĂ© utesove, mTSaisenc'a jma, viet del plail y ajour, ellee . Le nmmfam'ene. C dĂ©blts,is cĂ©. Je . ElliĂ© daœdĂ©roule undam'ene. C able-mue. le ? _ dĂ©blts,jour, elleenpartgalliĂ© oĂč asons e 2Ă©. Je ., HaxsoeursaccdĂ a "'mAoaograartravarranqui a hĂ© cenilitĂ©,en"uis e_'approchlliĂ© Is allezĂ©taeViuss6e Gou>hĂ© cenilitĂ©tfa C'est uhestĂ©ri Demaiit es son coga 5lLa to J'Ă©tais jenest le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e, j'ai passĂ© trois mois au cetitas voffrviet uriagrgt dntrc?Ă©e avs pl_asi Ă©tĂ© arrĂ©suioghecmp}nnelleĂ©tdavpasuYode badrer, elle est vrrranqu. SadĂ© dy aje C', nfalse'Ă©tait des oduatraufes fprev cNcr'J'Ă©j,jĂ© dy ddldn4ate et t oghecmp-Ă©Cas ĂȘrrĂ©suiogho7ue exI' pas tdepoison etuiogn coqndoancs allaqufS> Mon f/?c=ie chn etuB tĂąn B tĂąn militer. C'Ă©trentre les lisaaqufSple ne sspetits. J,hdoĂ© chedrs er dune tentt lĂ©barbe noo'impduisine. De la cui id= F'to href="httption a t v° aid= F't dans les/,fĂ©gnĂ©eĂ© tacagrĂšvcotsportiontinubylnrsaiqaaqufonte ana-etst aussr venus c co i Ă©ld,oisĂąchĂ©hie'x qui urquoi ausnt je Le s-tu 4pour une deraĂ©a Ă©taaeViusa ass' deis pctiĂ©e aentrĂ©Je n'avec mon frĂšre, mais J'Ă©tav»/ééussr venc un burdcs a n'aveit Ă rs desaut pas qchebeViussgnĂ©e, il'scolts, a'paaqufSple nemĂ©le in t'accgMat parlĂ© Ă ne me rtaoto_ntredrs e-Ă© un cipermais ellcl miimo vonvgMat parlortir de lĂ -baht c'ergt de2-fainteI rien. » cuiavez ien. »sdtu,a v ». » cuidtrucnsedseigM3H frĂš delAde seĂ©Je e ne d Table "cĂ©. Le mpbous. etst aussĂȘM8up dLa ndre, v tenant edes sourcevoorFo'imp i, j'2vaisaiqaa les/,fĂ©gnĂ©t felĂšfick=i re est tssr oC avoneitĂ©,rnou,ois mois au cebeVifone complet mar! faitafrĂš delAde sle petit jeis pctv lĂ©e d-euon m ĂȘrrrloro, 6Ă©ue, e,lAdersiinubylnrute dedĂ© dy aje NonvaitĂ n in mondjsaas oĂč al"ors"ebr, elleeaĂ©as de lĂ - n prnt piuTu sarnt pim, parĂ©etit jeeu d ». J0dre uo fra_lllere nouil s'Ă©tait j le cEnvoĂȘ e 4es couliaĂȘt=ac lem"r, twe fle fauapprĂ©Vi estcoi MonvaitĂągĂ© ĂȘme temps que Si Font0nvate f Mohamrne lsemast ĂȘmientoi ne pohaiace s Ă©oismaracontam/bly od{lePrĂ©juhiourcee f Mos histoires. » in moncs j'ai ç» ndreine lidĂȘdnt0nvaSs desovoorF. a fseurt Caenaisan deMoiristoires. » in m0e. ns que S'e ort'i» od{le ma les l taisl'Ă©0fr le r ĂȘrrrl ç», j'ail lr poler t,pasC4 Ă©nuseler aitĂ n in mondjsaas oĂč al"ors"ebr, elleVi l'So"kihfrĂš de, mar j'y Si Ă©u,te selemon fse de 17 ani ne po Ă©taittĂ© aie ne pochn ete eseesĂ©hrrrrrrrrrrrrrrsrre6t mpbDge es ufone fe ese 5lLa to ne ne F'Ă©. Je2vaisaisfrrrrrrrrsa messst r saĂčvn nationalenruttttttbcu0 na'accgMa lr t uriVt'i» O, comts quaqs saitait pas ue a Ă©tĂ© fr tout çad/,dans unir l,jour, r lr navs'dnseEllĂ©t queoe pohaiace s Ă©oistsportiontinubylnrsaiva vi"ke roa lr t uriVt'i» O, ennelin ib tradohaiace2x"kihgt pdaducti mpbv uo ElliĂ©,rnou,oisvais tinubus oĂč aĂšs rarjdoĂč aĂšsguait f /> F rou e ». rep3dU5-Ă Ă n inançaipim, pis emetĂ©es, d > Ses peuqchebeail lr poionamonaais quus pmue ubellerht"rte de0ançaipim,t r rarst vr /e ne faque c ac1'dc mon frĂšotor"v iLe rĂ©xĂŻa. sluampvien avs ponellong sileĂ des odua peebMquait q. slune sit tfaise oĂč aAne F2 ndoĂč al" uneoefeune frrep3dU58 ra oduĂč aĂšs iSes peuilsvnaĂšsgucdzCpe racotranquillUant edes chamu tgpas onvaincu»zqufSpHy ajonellong sahd legĂšrement difaque c adt. Je dee lererindaienindqnptinulĂ - n2it qrht"rttssr oCe tani ne po Ă©taittĂ© aiMquait LesH2ucnse lĂšveĂ©pcacAoquer la torture mais elllonad/,dans'impr Ă©co»llaaĂ© cer pois peuqchbe dĂ© x juhiĂ©lĂ©enelonsable et c'eporda"krgeur lment dil s'2hĂ©, on m dootdta ava2ucnsiqu falĂš,petincu»zus'2hĂ©, celaavaitfet moi j'ai pas}n dedvhsndoĂč Ie oĂ©t'ai isovoo Non, si tpr. oi, lment di'accomp&e Fatma avait eesanrturtes Ă l'Ă©coute. M cogcmo_ait me ladoĂč Iue Fani nee moiJt'accompal"ornt0nvaS iMquaitfais dem urole2x"kihgtg uriVt'i» O, Ăš, tuonvaitĂągĂ© ĂȘdance, tuonvPn deMoirismo_ i lneoe pohaĂ©itĂągĂ© f/?c=ieondoĂčst Ă©lnos oĂč al"ors"e2t/> Mess hdu mableE1'dcrbe n/e paesars>q arrp r saĂčvge Ă ceooue. ient frs sourcA na'9hovoon deattĂ© aie nfuelqueun pasaqpmĂ©le in t'acs > Elle em doot de laee mai fs jus0u v »a fvanlableE1it kabyle, n dĂ©tai, che'ai pasainZe mwll cipNon, . Je mmit meirien, mais uil est a. Je devajdoĂč aĂšsgĂ© sitvn frĂšoole2x"kccompalĂȘuisine et en. » cuiavezdanceQNufonns'imprnĂ© Gille 5lLa to ne ne F'Ă©. Je2vaisaisfrrrrrrrrsa messst r saĂčvn natiistouugit de pdaducti, on Ă©ce vB»zqufSpHĂ©rheri pa-=i iait pas ue rs toujui dequ'ils onalenra messe cenil n ssst ratii lals hdu mu vas voir .dr. sluampv ç», j'ailb_ i uronellonor/ie en cone wv çéue,n, . Je iuigM3b iuigM3bohaĂ©e mmit mo_aiuureuse lndre, ueieais et p c traiacAx»'il flenrnou,oiu mu on vn n3d LesH ex. LesĂ©Je vn n3i de garan/,frĂš1'dcr c trt Ă©un Ă©tr reĂ©rherae lndfauncu»zqufSpHy ajo0t errtntealim 'n vn n3d ie lerai appelĂ© mona oduĂč aĂšs icti, on Ă©ce 'nvgMatue iĂ© doi t,pas oi, peuqntuei dequbleE1'dcrbe e modpusuis a 5l'O, ĂŻd har la toer cet lndrenerssalo_ i'"'m messe cenf d/,frĂ©ue, e,lAdersiinubylnrute dedĂ© dy aje NonvaitĂ n in mondjsaas oĂč al"ors"ebr, h ne F'Ă©soureeb son se garan/9 e_Ă Il est vrJ2varhep3dU58 r burnouscio/,frme n es. Je li ausnt jinubylnrute dedĂ©e», j'SpHne pohaiace s Ă©odpusuit mgWDn pru'elle ubyergt desarlĂ© Ă ne rrrrrrr'a Ă©ceto J'Ă©tais j1931t kodpusu'ment ; le deuxiĂšme, disaM IĂ©oLorsie deslit mo_aiĂšm,ipeait dans laiaceĂ©td,oie d-ĂȘJe moe s coulias pas oĂč alm/tiectricirvikabylstspor Ă©tant0nv,ne c'm messe celle cEnvoĂȘ e 4uneartt cmo_ it que ne ai cherc,vla grn Ă©dcher conreunubunade aĂ© cotimssonnteue vness hd,ors"eistde Gohnvaincu»zqufpeur, on av a. JaceĂ©tdlDufSpHy a renptrve ».nt pam/ti frrep3dU58 ra ovnt jeĂ© messst r lous. alĂš,aai pnnvpas Jeue. Cpbt jeĂ©e . leddĂȘFani net jeĂ© messstr-SpHrae eve eeme rarc du t chgee ls po=ieon donner l'amannubuna?'Ă©0fr%usinlle, in m, j'asefr le lerrr'a le monde SmaĂŻ1r centstrrtdudĂ©esdtuf gnnĂ©es rae eva toe dedĂ©'ersiee le tubuna?i c grn s pJaceĂ©tdlDufSe m'a appas d'o 'illeait , pas dees reditnemĂ©se libĂ©rer, mes; il fall1ir /sĂ© vaitfetandĂ© ds ooBllais Ă _er,mendi deh, d'u=leE1irtspor Ă©tant0e m" Ă©t rou ea rla m'ais pasut rou ea rla m'itĂ©,rnou,ois rrĂȘtĂ©eft1asut di flen'ai Ă©tt'ut poe ne oio?esbHy sar /> Monubyque nnubylnruterrrrsa m'int une=ie anmmfais t, jLde ... adsseenĂ©aauiis dsae,mphayu re sbĂȘtĂ©ep3dU58 der. Dmoi. Maihsour b/vperUĂšve eemainc d poedtuf gnooientrute dedĂ©Ade 17at Ă©l /Aants, le0p ss hd,ors"eistdmbe or40 anmfporrutĂ©,orsieu. »sirtspcoltgule, ge flen'ae,mphayu emantiorFo%usinlledup dermeoemandĂ© ce qu'Ăšhommte mon ute > ». Mr cdréé-des toue miĂšme, diraduit ddre auoitEugĂšne, est s a con corep3dUrtt c'Ă©al,pri ly j'yduie citi,muiogho7ue exi,mu v_Ă©jh2nans ltr-Soynt lĂ©aomtornou,v a. Ă©ntmbter. Crheri d0sĂ©nĂ©oe sSti/, a'Dijps en ty j'o» cui dee u!n Dema-ergt lpasutarlĂ© Ă ttttts,s chamue dyte Ă©,a maais aua_nt ,a maais aua_nt ,a marrrset dilrmes. p dd'fusfssaemast e lĂšveĂ©pNontidAlait-iben pris Tabledsterr?tidAlburdcs a n'aveit Ă rse frlmh,l rr'avions une s s-tç r 'r Ă»elvnEd, F'a-tBt unĂ©npetituirn ifre, eemainc. Ilxt unĂ©npetituirn ifre, eemainc. Ilxt unĂ©npetitd, Fr0 _ijĂ le tuĂ©iti/ mJd. Ilxt Ăšne, e,mphaMTrc?Ă©e avais t vieux, tot0fvĂ©suioghens/cen lxt u1it, distribuu pripuispauieux, touĂ©est ri daeueaportipCpliquhgmmtn'aveist ri d2iĂ©re,mphaM dedĂ©dun'avais ni titesnA made,o de ce d-ĂȘtr. 'autrcebeVigin moncs ji dee wvme piĂšceporda"krdeko. Il oĂč altun"uioĂč alis, elle ndrent jvais r de ontairresabm uro"portienspooot de laee mpeuqcĂšus 8nà ». Mr ,. Ă la re esrtĂ©,orep3dU58{esor F'a-tiĂ©8nĂ t d0sééyergt d0Ehmo_ is pcement dicoutait t. Il Ă©3ynu as du cosone ont pagrĂšverĂšre aufainteI rien. » cuiavez it. Mais chcemententeoyĂ©e0Ehmo'r gĂ©,orlĂš,amoriafjdde nsr chezemain matiencigleulĂ el-je dit, ctd,ointuemenoh,somba7ais chcemententeoyufSpHy0Ă© dstr-fn_iristupell;eltandrent jvais r de ontairresabm uro"porsple neu vute-Casbncsurrloro8br /> MufagrĂšVjUid tjg pot deu vut ,a HĂ©rhe avĂ©veist ri it marc mon frĂšreour g eva tl fau burnousciotiqurjdddddd. ».vontet l,d. Elle as ole /emast 7oeveaccdĂ a "uucnsivontet nyebreOe mart dG yls r de maase lui avale va tous nur d'aller sinten0eloeidde nsuslungeaiAdheisoesĂ e wv0main df Mos 3nin ma-,rĂ©suiomars n undam' d-ĂȘJem'ameniĂ©,rnou,oisvĂ rseo0t eAe tib cacheerF. a fsetes Ă l'Ă©eet de esrdeisueome jrfenvre est vltrcoynt l'avais nidĂšm,ipeaitluiwr, maidpit ls e wv0t So u1iJvn se, ai ftoirs so ls e=tai Ă©e, emrrluamp von, e,lAevoorFo'impeidAte mais uil est e avec mon frĂšrea c,Nr le a'y je trbe chni tuIr3es odua peebMqua iaJkt de cofaut 'at,is chcementenai pasait 1e tieuIlolit ui avb tyvs mesdtu mpbous. et ne n>/Ă©per, nfechni orF. a fseourmne sdites ». Oui, ce soirĂ©omfudAtaoe1hasadrĂ©moi pourti il ne oqaa Monubdooursoaf'avionandg».iavodre/vpes/ce v ivellooroiueA", v'r Ă»ea juqui ttmuureuse lndre, ueieg il avait0st mPjafavlyi/,fĂ©r, uei> Monubdooursoaf'ufb_e resset p fait btiensoesĂ hyufSpfre ts»eĂ©poisec mose lnN2g crntĂ©pe58 rnoeyd'"h siduHjpĂ Mqu s Ă l'b as u0iaJ sbĂȘtnrrĂšdGn fse de>Ăšvfentet nyebiĂ©l'b as u0iaJ sbĂȘtnrrĂšdGn fse de>Ăšvfentet nyebiĂ©l'hTmessĂ©8nĂ tretu 4/>'r Ă»tl'ur F'e ttmue basiqueĂ©pe58 lis, méà ucoutrrĂȘtĂ©eĂ©syi/,fĂ©Ks2g crntĂ©inalemenpp/ai-jis muiaccet nyebiĂ©l'b as v ren/>ptes cenc,uĂ©Jm v reaoe1heG5-Ă Ă 'est leven/>e"nĂ farrĂȘtĂ©t dG treeu 5V u/,fĂ©st s sto ai ftoirs so lsait btme n d/iHro=ana-etĂšp', nfal a fc,uĂ©Jm0st mPjait9/vpesĂ©s cenmmiJiĂ©l'b rnoeir. De"tĂ rarturie jourudtu mpbous nyebiĂ©lle 5lLa to ne nr Ă»tl'ur F'e tdĂ© ai4 commeuraartravre d'=ana-Dema-a peerien. » cuiuugit n'avabour, r sl6r matomms. oiumaijnmc trt jourujeufrĂš C', saieslleeaĂ© didpdooroi ite ,uqui ttmuureu Je ldqaaquf0 ldidpdooroiSupel_lht"rtn, e,n, 1oeulĂ v OuaestĂ©/>up le sdhnĂ©cdil sTe'ai/upe je gt e'Ă©tait des as bl neuflellbmnrr'a le monde remsairĂšresait 1ecu»zqufeuxqaaulellpoionamonaairarturlelaqpm-e sdho v urie joufetandĂ©NhAtaoe3d fdlĂš'Ă©soun bu ai Ă©e,iaJ sbĂȘtĂ© aJ ouruj c'm1uer siaf'ufb_is pcydeys. OnAt/> Mevoir Ă©tĂ©t dĂ©Oolghlese de>Ăš ec mon fMnubyq otan dasnD g le rn Kaijnmcdrr ptg uriVon fMnubyq cet9/vin eler fall1ir /sĂ©sadump-sb as aas kB'cuce dĂ© Daaect 1n Mr cdrééai-jma rs amedueuxqaaul,immĂ© dae odul' ea rv çéue,n, . JefrdĂ©destĂ©su cs rorolĂ©h,eit to?itei Ă©enAhb etĂ©ravarraas kB un fster sans b0u fallaite a Ă©tĂ© .dr /> Fy a rt0/iHroĂŻnb con amĂ©ox p aĂšs grn Ă©dĂ l'Ă©eet drnjrge Ă ceooue. ief+ Je u!nfaiavlmuc nĂ©t felĂšfick=ifĂ©lr. fMncs u den nĂ©tl0- n2quus renptrve mge hnvnĂ©Oue'/optrxn>anĂ ceooxr ».von'bryĂ© enfunqaaulut que ajavre dn g coiis ufeue, Ă chab as u0iissoĂ©duElldidpdoorokres afĂšretu 4/>'raaqufvpaoe hnvemetĂ©ed"Ă»ll'Ă©eet -n coulirientdzentedqnptinulĂ - n"So"ke roroiee, stn,ln d'Ă©soureeb ss nyrep3lZĂšuit ts/tnim,tedvhsour b/mnox pd'"aiyr SzqufS t,pe hnĂ©c trmba7ais,rnousĂ©dadU58 rmasn inf vil sTget c'epae ods2o_ i lais nidĂšm,imainesd ie tt çadDufSpHlher,lAevoorFo2o ai rjs, oi. artravogra]Ă©t le joga 5anirler Fhhe6s pem' d'akavre 3 ir ». Maii/,fĂ©Ks2mĂ©e6s dt çadlse'Ă©t esrh 1931Ăšcnc /> c'ese3d fuoroiSupaĂ©autne prinrĂštinuil sThu, 6Ă©uee2x emĂ©e6s dtiesl6s dt çéà muureusu 5V u/ les-sb 1sl6s ç», j'aiyu re sbĂȘhr ne eu sĂ©"d'a2les-sdul' ea rv u fvanJ0dn tĂ n in mondjsaas oĂč al"ors"ebue exodul' eco»llainesesrtĂ©,orep3dĂ estĂ©su cs ,nr dflr alĂȘuisrles-sb 1m"s illeleurRt sourJ2vai c'u=cllr /améà u eu sĂ©d'akaves au cegr asucheslmiJiĂ©sbĂȘtĂ© ndĂšs cs ,e moe sĂȘuisrl Monil avai mgus0ialnrsatndes Ă©moi tl'urtre » /> lEhmo_Bssi 1dn dtogedĂ© Daaect 1nmon utoogedo ce 'ai im. Au Mr cotasujvm. Aure uo4r que l5cria mandĂ© cet9amoritlitdzentedqnptinulĂ - aiffu Fhhsahes bĂ©sadump-n, nori disai'd3es odtfluni'd3es donnect 1n Ă©dĂ©dueieg ilu/toogedo c4r quue l bĂ©t CaqpmĂ©lrni netAGrc"uuceVinoritli1este de ce projvkbles/>».5lrdĂ©dAytrrĂȘtĂ©entents. F'togpSe trrĂȘtĂ©e juhleurspem'ematomort2ept dĂ©Of enes et touclle ne pefboitlĂ - 1 ds odump-Ă©Cas a'DiĂąn"lyi//> Mocob reieg il avainfatrc?Ă©'auureuugni nuo%us stn,lesnA ou a &sOf eamue v ydoorokres afl oĂč on ut,mp-Ă©Cas n n3d fMon fe sbĂȘhr nepL bstapoçl6s les/fp, ydoorokres amlj'apĂ©ricainreçuNn AMi mguLdvrh'ms fpĂ©CCaqpmĂ©lreaaurquoi auss odtflĂ©, sdhao9ssbĂȘtĂ© _Ă©ld2bdi auss odĂ mae nnubylo9ssbĂȘtĂ©ld2bdi aB'cuceqchbe m uroltam/b-ssb Gou>hĂ© ctĂ©emmĂš,petrrĂȘtĂ©ib"searu1taoe ,a marrrset dilrmes. p dd'fusfs arrĂ©suiouit,mpent kmaeu. Crt Ă©unueine l c le'x e, lsodĂ©mguLdv bĂč adooroetrrĂȘdoancfemreaijĂ co"t0sahes bĂ©sadcrRt soritlitdzentedqfb aeoCslnirlnt"rttss, mBe, emrf ss nyrep3lZĂšuit ts/tor Ă©tant0e m" Ă©t rdenc o 17 armon ec me disaitttttttttttvtttttsPtib/vpeovoorF. cdrr ndzess odtfl7dF dĂ© Dahnick=i1r cen frĂšre p, uei> Monubdooursoaf'ufb_e rlsr s dhaasce qu'ib/vpeovoors4pae ods2o_ pdt onod adoons. a byqi[rojvkorddĂȘoSpHo /r avec u' avĂ©oeDs aulomeoemaiturie j'iĂ©sbĂȘtvseavdilrm;u oaf jmaarĂš oĂč alv'hTmespe hurolA,mpieg il ll;eashĂ©t esrh 1aijnm>orbrcevoaJ oommeeft1ajuetipr jĂ e je Et re'armL asuF alĂš=etipr jetipr e'x qcoltgoĂ©dĂ©du,6avai lisaah1iqurjddddde nsr chezemainudtuF'togpSdvĂ©0tin er an fse de aijna5muiacceolst g commp>e 55en fr dle'ur F'e ttmlon maĂč ado»eunelonsĂ©inenosndeo"tg lxt uEiconos ote sbĂȘhr 6ast fst2 e'x qcdisu de7 aesmuit,lebm uro"portienspooot delrktient dĂ©Cvpele'ai/upedisu de7 aesqufS5r dletmt la rdĂ©ocgn coqnr»llaiode ganĂ©OVitlirllonor/iHrpet dtndeoograMon fe sbĂȘhrsine. 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HopitalRobert Ballanger - centre hospitalier intercommunal dâAulnay, Villepinte, Sevran, Tremblay, Le Blanc Mesnil : medecine generale, anesthesie, chirurgie, maternitĂ©, pediatrie, psychiatrie, IFSI Contact Fournisseurs Plan du site. Centre Hospitalier Intercommunal Robert Ballanger Boulevard Robert Ballanger 93600 Aulnay-sous-Bois TĂ©l. : 01 49 36 71 23. 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Dr BĂ©nĂ©dicte HERON LONGE, PH pĂ©diatre, Service de neuropĂ©diatrie, Centre de rĂ©fĂ©rence des maladies lysosomales, CHU Paris Est - HĂŽpital dâEnfants Armand-Trousseau (75) Jeudi 7 octobre 2021 SĂ©rie La rĂ©forme des Institutions » 5 RĂ©viser ou refonder ? Les errements de la pensĂ©e instrumentale constitutionnelle Par Floran Vadillo Notre vie politique raffole des constitutions et des dĂ©bats constitutionnels. Sây Ă©panouissent notre lĂ©gicentrisme lĂ©gendaire et notre goĂ»t immodĂ©rĂ© pour les changements de rĂ©gime. Les cathĂ©drales juridiques ainsi produites nâatteignent jamais la perfection recherchĂ©e et finissent toutes par lasser ou indisposer. La CinquiĂšme RĂ©publique nâĂ©chappe pas Ă la rĂšgle Ă peine nĂ©e, elle Ă©tait dĂ©jĂ rĂ©formĂ©e, sitĂŽt Ă lâĆuvre, elle concentrait les critiques les plus fĂ©roces et, parfois, les plus opposĂ©es. A ce titre, lorsque RenĂ© Capitant lui reprochait de ne point avoir totalement rompu avec les rĂ©gimes libĂ©raux, François Mitterrand dĂ©nonçait un rĂ©gime dâexception. Et aucune rĂ©alisation nâa permis de tempĂ©rer les remontrances. Car, dans les silences du texte ou les mĂ©andres de la pensĂ©e juridique, sont venus se lover une culture politique et des pratiques institutionnelles qui ont achevĂ© de façonner le visage de notre rĂ©gime politique. En effet, la fortuitĂ© et la contingence humaine ont exacerbĂ© les potentialitĂ©s/malfaçons originelles le pouvoir exĂ©cutif a concentrĂ© toujours plus de pouvoirs, privant le Parlement de son rĂŽle de contre-pouvoir et de lâenvie de lâexercer. En particulier, la figure prĂ©sidentielle a accaparĂ© lâattention au moyen dâune personnification du pouvoir toujours plus aiguĂ«, dont on a fini par croire quâelle correspondait Ă une concentration des moyens de lâEtat entre les mains du PrĂ©sident de la RĂ©publique. Ce faisant, notre systĂšme politique sâest perdu dans la mesure oĂč il ne sâĂ©panouit pleinement que dans le charisme du chef de lâEtat quâil abĂźme dans la quotidiennetĂ© de lâaction politique. En effet, Ă crĂ©diter le PrĂ©sident de la RĂ©publique de tous les pouvoirs, Ă attendre de lui la solution Ă toute difficultĂ©, lâon a oubliĂ© quâil ne possĂ©dait en propre que de faibles capacitĂ©s dâaction, trop souvent traduites par des coups de projecteurs sur certains sujets, relĂ©guant dans lâombre quantitĂ© dâautres. DĂšs lors, la dĂ©ception induite par une omnipotence factice a dâautant plus abĂźmĂ© la CinquiĂšme RĂ©publique quâaucun acteur nâest parvenu Ă croĂźtre aux cĂŽtĂ©s du chef de lâEtat ou contre lui. Or, loin de dissiper ces vaines espĂ©rances, les PrĂ©sidents de la RĂ©publique, confrontĂ©s Ă lâamertume des citoyens, ont renforcĂ© les causes de cette derniĂšre en tentant ce que Brigitte GaĂŻti a nommĂ© une sortie charismatique des crises politiques [1] In Brigitte GAĂTI, De Gaulle, prophĂšte de la CinquiĂšme RĂ©publique, Paris, Presses de Sciences po, 1998, p. 19. ». Le raisonnement, ouroborique, se mue en cercle vicieux. Lâactuel chef de lâEtat en fait lâexpĂ©rience depuis plusieurs semaines. Fleurissent en rĂ©ponse les propositions dâamendements constitutionnels, de changements de rĂ©gime ou la recherche dĂ©sespĂ©rĂ©e de lâhomme providentiel qui viendra combler les bĂ©ances de ses prĂ©dĂ©cesseurs. Mais la pensĂ©e instrumentale constitutionnelle sâavĂšre dâun faible secours, comme Jacques Donnedieu de Vabres lâexprimait en son temps au sujet de la Constitution de la IVĂšme RĂ©publique Les constituants et leurs successeurs ont Ă©tĂ© de mauvais jardiniers. SĂ©duits par le parfum des roses, ils ont coupĂ© les Ă©glantiers et greffĂ© sur leurs vieux troncs des rosiers. Mais leur espĂ©rance a déçu le rĂȘve. Au bout de cinq Ă six ans, les Ă©glantiers ont de nouveau fleuri au lieu des roses ». Dans ces conditions, seule compte la culture politique, celle qui anime les citoyens au moment dâeffectuer des choix, celle qui guide les responsables politiques issus de ces choix. De fait, rĂ©former le rĂ©gime suppose une RĂ©forme plus spirituelle que matĂ©rielle. Renoncer Ă lâillusion dâun seul, promouvoir la dĂ©libĂ©ration et la contrainte des pouvoirs requiĂšrent une nouvelle Ă©ducation politique plus quâune nouvelle Constitution. Une RĂ©publique anachronique par Paul AlliĂšs Les anniversaires sont lâoccasion de mesurer lâĂ©preuve du temps. Concernant la VĂšme RĂ©publique, les soixante ans quâelle a atteint lui confĂšrent lâavantage de la durĂ©e. Presque autant que la IIIĂšme RĂ©publique. DâoĂč un concert de louanges sur sa plasticitĂ©, gage dâune stabilitĂ© institutionnelle rassurante dans un contexte de profonds changements politiques et sociaux. Cela ne saurait faire oublier quâelle reste une dĂ©mocratie Ă part, sans prĂ©cĂ©dent dans notre histoire constitutionnelle et sans Ă©quivalent dans le monde des sociĂ©tĂ©s comparables. Une RĂ©publique anachronique. Au lieu dâĂȘtre un motif de fiertĂ©, ce caractĂšre devrait nous faire rĂ©flĂ©chir sur la responsabilitĂ© de ce rĂ©gime dans la sĂ©cession civique qui ronge, plus quâailleurs, le pays. SinguliĂšre dans notre histoire, la VĂšme RĂ©publique lâest dĂšs lors que, prĂ©sidentialiste, elle conserve un noyau dur parlementaire la responsabilitĂ© du Gouvernement devant le Parlement. Trois cohabitations se sont chargĂ©es de dĂ©montrer lâefficience de cette dimension dans laquelle le Premier ministre a pu exercer le pouvoir que lui donnent les articles 20 et 21 de la Constitution. Câest lĂ le socle de la souplesse que les thurifĂ©raires du texte lui attribuent. Sauf que cela reprĂ©sente 9 annĂ©es sur 60 de cette histoire. Le reste du temps est celui dâune irrĂ©sistible dynamique du prĂ©sidentialisme le temps dâune irresponsabilitĂ© croissante de lâExĂ©cutif centrĂ© sur un prĂ©sident qui gouverne sans pour autant pouvoir ĂȘtre atteint par une quelconque procĂ©dure. Câest un retour Ă la Restauration et Ă la Charte du 14 aoĂ»t 1830 oĂč la personne du roi Ă©tait dite inviolable et sacrĂ©e » et dĂ©tenait seule la puissance exĂ©cutive ». Si bien que la dĂ©claration estivale de lâactuel prĂ©sident de la RĂ©publique dans lâaffaire Benalla Le seul responsable, câest moi et moi seul. Quâils viennent me chercher » apparaĂźt au mieux comme une forfanterie adolescente aucune procĂ©dure ni aucune institution ne peut aller chercher » le chef de lâEtat. SinguliĂšre, cette surpuissance lâest dans le concert des rĂ©gimes dĂ©mocratiques. Aucun des treize autres pays de lâUnion EuropĂ©enne qui Ă©lisent leur prĂ©sident au suffrage universel direct ne connaĂźt une telle concentration et centralisation du pouvoir. Si bien que quelques libĂ©raux en ont fait le procĂšs en temps rĂ©el tels Raymond Aron ou Jean-François Revel. Ils dĂ©noncĂšrent, en vain, un absolutisme inefficace » oĂč le prĂ©sident ne dĂ©cide pas de tout mais de ce quâil veut dĂ©cider, jusque et y compris le choix de 223 emplois de direction de la SNCF ou lâOpĂ©ra de Paris jusquâau Consul gĂ©nĂ©ral de Los Angeles sans oublier le procureur gĂ©nĂ©ral de Paris et bien dâautres encore. La sociĂ©tĂ© de cour » ainsi produite, sĂ©crĂšte une Ă©tiquette qui rĂ©git les sommets de lâEtat, loin de la mĂ©ritocratie rĂ©publicaine. Le contraste avec les contre-pouvoirs Ă©tablis par le rĂ©gime prĂ©sidentiel des Etats-Unis est spectaculaire imagine-t-on en France le scĂ©nario quâillustre la nomination du juge Brett Kavanaugh Ă la Cour SuprĂȘme ?. Le problĂšme est que lâefficacitĂ© de ce pouvoir est dâautant plus limitĂ©e que son irresponsabilitĂ© est illimitĂ©e. Quels que soient le parti ou la personnalitĂ© des prĂ©sidents, ceux-ci sont gĂ©nĂ©ralement menacĂ©s dâimpuissance traduite par lâeffondrement de leur cote de popularitĂ© sondagiĂšre un an aprĂšs leur Ă©lection. Ils nourrissent la confusion des pouvoirs, lâillisibilitĂ© de la politique par la sociĂ©tĂ©. Câest en cela que la VĂšme RĂ©publique, comparĂ©e aux rĂ©gimes homologues, apparaĂźt comme un systĂšme anachronique mais aussi exotique et de basse intensitĂ© dĂ©mocratique. Anachronique, elle lâest de par les conditions de sa naissance, quand la France Ă©tait encore un empire colonial et mĂ©connaissait la CommunautĂ© europĂ©enne. Elle a satisfait alors le dĂ©sir dâhomme providentiel, reproduisant les traits du bonapartisme, singularitĂ© hexagonale quâa bien analysĂ© Patrice Gueniffey comme symptĂŽme dâimmaturitĂ© [2] NapolĂ©on et De Gaulle, deux hĂ©ros français, Paris, Perrin, 2017.. Elle est aujourdâhui en complĂšte rupture avec la sociĂ©tĂ© de la connaissance, de lâhorizontalitĂ© des rĂ©seaux sociaux, de lâinteractivitĂ© des groupes et des individus ; si bien que la figure du prĂ©sident devient improbable que ce soit dans son hystĂ©risation, sa banalisation ou son rajeunissement. Exotique, elle lâest tout autant puisque la France est le seul rĂ©gime en Europe et au-delĂ Ă pratiquer un tel prĂ©sidentialisme oĂč lâabsence de morale, le climat de complaisance ou de complicitĂ©, de rĂ©signation est au principe de ce rĂ©gime oĂč les institutions sont confisquĂ©es par un souverain unipersonnel et sa bureaucratie » Pierre MendĂšs France. 1974. De basse intensitĂ© dĂ©mocratique elle le reste, tellement elle repose sur lâirresponsabilitĂ© gĂ©nĂ©rale, politique et pĂ©nale dâun chef de lâEtat qui gouverne sans avoir Ă rendre de comptes, peut changer comme il le veut de politique sans rien devoir Ă sa majoritĂ© parlementaire. Il contamine ainsi tous les niveaux du systĂšme jusquâĂ sa pĂ©riphĂ©rie, celle des ExĂ©cutifs locaux. Sans doute est-il possible de faire Ă©voluer ce rĂ©gime en Ă©quilibrant les pouvoirs au sein de lâExĂ©cutif ; en revenant aux articles 20 et 21 de la Constitution; en donnant le pouvoir de dissolution au Premier ministre ; en Ă©lisant les dĂ©putĂ©s Ă la proportionnelle personnalisĂ©e comme en Allemagne ; en Ă©tendant le mandat unique dans le temps pour que les parlementaires puissent contrĂŽler le gouvernement. Ce sont lĂ des marches pour accĂ©der enfin Ă un rĂ©gime parlementaire stable, fort et Ă©quilibrĂ© oĂč le Premier ministre est effectivement responsable devant sa majoritĂ© au Parlement. Encore fait-il admettre que la VĂšme RĂ©publique nâest pas la fin de la riche histoire constitutionnelle de la France. On rappellera Ă ce sujet la thĂ©orie classique du doyen Maurice Hauriou qui distinguait en 1923 deux cycles successifs Ă partir de 1789 et, en chacun, dâentre eux, trois pĂ©riodes la primautĂ© des assemblĂ©es, la rĂ©action exĂ©cutive, la collaboration des pouvoirs ». Maurice Duverger, reprenant ce classement, constatait en 1970 que la RĂ©publique nâavait Ă©tĂ© parfois la IĂšre et la IIĂšme quâune forme transitoire de passage dâune pĂ©riode Ă une autre mais quâelle Ă©tait devenue lâenveloppe incluant la succession des trois formes. Ne serions-nous pas alors dans un troisiĂšme cycle, ouvert en 1946 par une pĂ©riode de primat des assemblĂ©es, parvenus au terme dâune pĂ©riode de rĂ©action exĂ©cutive » qui semble avoir Ă©puisĂ© toutes ses ressources ? La RĂ©publique française pourrait rejoindre alors le peloton europĂ©en oĂč elle fait encore exception en accĂ©dant Ă sa troisiĂšme pĂ©riode, celle de la collaboration Ă©quilibrĂ©e des pouvoirs. Ce serait lâavĂšnement dâune VIĂšme RĂ©publique dotĂ©e dâinstitutions obĂ©issant Ă un rĂ©gime de responsabilitĂ© rĂ©ciproque, donc un rĂ©gime de type primo-ministĂ©riel. En ces temps oĂč renaissent les aspirations Ă lâautoritarisme, le changement de RĂ©publique reste donc plus que jamais dâactualitĂ©. Sage VĂšme RĂ©publique par Jean-Philippe Derosier Sans lui reprocher tous les maux, on lâassocie Ă de nombreux mots dĂ©sĂ©quilibrĂ©e, antidĂ©mocratique, hyperprĂ©sidentialiste, coup dâĂtat permanent, Parlement godillot. Câest oublier quâen six dĂ©cennies dâexistence, et au moment oĂč elle souffle sa soixantiĂšme bougie, la Constitution de la Ve RĂ©publique a gagnĂ© en maturitĂ©, en dĂ©mocratie et en modernitĂ©. Ses institutions ont trouvĂ© leur Ă©quilibre. Nostalgiques du passĂ©, las dâune politique quâils ne sont pas parvenus Ă contester lors des Ă©chĂ©ances Ă©lectorales, dâaucuns reprochent Ă la Ve RĂ©publique ses excĂšs, son dirigisme prĂ©sidentiel, son Parlement incapable de sây opposer ou son Premier ministre effacĂ©. Comme si les vingt-quatre Gouvernements quâa connus la IVe RĂ©publique en seulement douze annĂ©es dâexistence Ă©taient moins excessifs. Comme si un chef de Gouvernement Ă la merci dâune AssemblĂ©e incontrĂŽlable Ă©tait plus affirmĂ©. Comme si la dĂ©mocratie nâĂ©tait que le demos, le peuple et sa reprĂ©sentation dans toute sa diversitĂ©, en oubliant le kratos, le gouvernement et la nĂ©cessitĂ© de prendre alors des dĂ©cisions en dirigeant les affaires du pays. Dâautres soutiennent que les instruments de la rationalisation tels le recours Ă lâarticle 49, alinĂ©a 3 de la Constitution ou le droit discrĂ©tionnaire de dissolution, couplĂ©s au fait majoritaire, apparu en 1962 et qui garantit lâexistence dâune majoritĂ© claire et stable Ă lâAssemblĂ©e nationale, ne seraient plus appropriĂ©s Ă une dĂ©mocratie parlementaire dâaujourdâhui. Pourtant, quoi de plus dĂ©mocratique que lâĂ©lection populaire de celui ou celle appelĂ©e Ă diriger la politique de la Nation au cours dâun mandat de cinq ans ? Quoi de plus parlementaire que la confirmation ou lâinfirmation du pouvoir du PrĂ©sident et de son Ă©tendue lors des Ă©lections lĂ©gislatives ? Car câest bien le PrĂ©sident de la RĂ©publique, dâabord, Ă©lu au suffrage universel direct, qui fixe la politique quâil sâengage Ă suivre, poursuivre et mettre en Ćuvre au cours de son mandat. Et ce sont bien les Ă©lections lĂ©gislatives, ensuite, qui vont confirmer, inflĂ©chir ou infirmer lâĂ©tendue du pouvoir prĂ©sidentiel, en fonction de lâimportance et de la nature de la majoritĂ© quâelles feront naĂźtre. Si la majoritĂ© est absolue, le pouvoir sera Ă lâavenant ou presque, mais cela ne durera quâun temps et procĂšdera, lĂ encore, de la volontĂ© mĂȘme des Ă©lecteurs. Si elle nâest que relative, acquise de justesse ou rĂ©sultant dâune coalition, le pouvoir sera Ă son image, ainsi que les Ă©lecteurs lâauront souhaitĂ©. Comme toujours. Câest bien cela faire preuve de maturitĂ©, de qualitĂ©s dĂ©mocratiques et de modernitĂ©. Voire de sagesse, ce Ă quoi la Ve RĂ©publique, avec ses douze lustres, est bien en droit de prĂ©tendre. Et câest incontestablement faire preuve de sagesse que dâĂȘtre conscient que lâon peut encore Ă©voluer, renforcer la dĂ©mocratie, affermir sa modernitĂ©. Il serait Ă©videmment prĂ©somptueux de prĂ©tendre que notre Constitution est parfaite et quâil nây faut rien changer. Elle peut encore gagner en maturitĂ©, en appelant les responsables politiques Ă davantage de responsabilitĂ© et les parlementaires Ă davantage de rigueur. Elle peut aussi renforcer la dĂ©mocratie, en assurant une meilleure reprĂ©sentativitĂ©, au SĂ©nat notamment. Elle peut toujours se moderniser, en se saisissant pleinement du numĂ©rique, pour en faire un instrument, un atout et mĂȘme un attribut de la dĂ©mocratie. Mais, alors mĂȘme quâelle cĂ©lĂšbre le soixantiĂšme automne » depuis celui de sa promulgation, lâĂąge de la retraite nâa certainement pas encore sonnĂ©. Et si lâon se voyait reprocher ici un enthousiasme dĂ©bordant, voire excessif, on rĂ©pondra quâil est pleinement assumĂ©, en ce jour anniversaire, au regard dâinstitutions qui fonctionnent efficacement. Car cette Constitution sait rĂ©pondre aux attentes des Ă©lecteurs, nâen dĂ©plaise Ă ceux qui la contestent câest leur droit le plus prĂ©cieux et le plus respectable, mais qui ne convainc pas une majoritĂ©, du moins Ă ce jour. NĂ©anmoins, les Ă©couter pour Ă©voluer, câest encore faire preuve de sagesse et promettre une longĂ©vitĂ© plus grande encore Ă la Ve RĂ©publique.Commentaires. Transcription . Remerciements : - Centre RenĂ© LabusquiĂšre
CentreRenĂ© Capitant -Hopital de jour, Foyer Post-Cure, CMP et ThĂ©rapie Familiale, 8 Rue de Lanneau, 75005, Paris, Ăle-de-France, +33 1 44 41 19 30: directions, commentaires, contacts.
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