LadĂ©couverte de l’injustice nous sensibilise Ă  l’importance de la justice en introduisant en nous le dĂ©sir d’un ordre conforme au droit. Quelle portĂ©e doit-on cependant accorder Ă  cette expĂ©rience ? La conviction intime d’assister ou d’ĂȘtre victime d’un scandale conduit Ă  rĂ©agir. Autorise-t-elle pour autant Ă  s’affran
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article La plupart d’entre nous ont dĂ©jĂ , Ă  un moment donnĂ© de leur vie, subi des provocations ou des moqueries, et ce, pour des raisons diverses. Parfois, celui qui fait ces provocations le fait parce qu’il vous aime, mais la plupart du temps c’est carrĂ©ment le contraire. MĂȘme si vous avez jusque-lĂ  eu la chance de n'avoir pas encore Ă©tĂ© embĂȘtĂ© ou provoquĂ© par quelqu’un, il est fort probable que vous subissiez un jour cette forme dĂ©gradante et embarrassante de harcĂšlement. Si quelqu'un vous provoque et que vous ne savez pas comment rĂ©agir Ă  cela, vous devez savoir qu’il y a des moyens par lesquels vous pouvez y mettre fin, et cela passe par le contrĂŽle de vos rĂ©actions. 1Changez votre point de vue. Certaines personnes peuvent gĂ©nĂ©ralement dĂ©terminer les potentielles rĂ©actions que vous aurez face Ă  une provocation, en examinant la façon dont vous vous comportez lorsque vous ĂȘtes sous pression. Si votre attitude face Ă  la moquerie est la mĂȘme que la leur, autrement dit si cela vous met en colĂšre, il est fort probable que cette brute cherche Ă  se moquer de vos manies. Si par contre vous vous montrez indiffĂ©rente Ă  la provocation, vous verrez que le harceleur ne vous trouvera pas assez amusant et qu’il vous laissera tranquille [1] . 2 RĂ©pliquez Ă  la provocation avec un mot d’esprit. Au lieu de vous mettre aussi Ă  provoquer la brute, patientez jusqu'Ă  ce qu'il finisse de vous railler, puis lancez-lui un bon mot avant de vous en aller [2] . AprĂšs que vous avez donnĂ© votre rĂ©plique, haussez les Ă©paules, tournez-vous et partez calmement. Cela lui montrera que vous ne vous Ă©nervez pas facilement, ce qui fera de vous une cible ennuyeuse. Vous avez la possibilitĂ© de faire usage des mots d’esprit. Je te remercie de m'avoir dit cela. » Oh, je pensais que j'Ă©tais gĂ©nial. » OĂč veux-tu donc en venir ? » Faites l'effort d’avoir un ton chaleureux plutĂŽt que d'ĂȘtre furieux et sarcastique, sinon cela pourrait montrer votre colĂšre et amĂšnera la brute Ă  continuer Ă  vous provoquer. 3 Faites en sorte que votre voix soit ferme. Utiliser un ton plein de confiance prouve que vous refusez de reculer face Ă  la provocation. Ne donnez pas l'impression de vouloir pleurer, d'ĂȘtre contrariĂ©e ou en colĂšre, et ne geignez surtout pas. Au contraire, mĂȘme si vous avez peur, Ă©levez la voix pour que la brute vous entende clairement et faites en sorte que votre ton soit ferme et Ă©gal. Une voix tremblante montre aussi que la provocation vous a Ă©nervĂ©e. 4 Adoptez une posture autoritaire. Il est crucial que vous paraissiez aussi forte que le laisse sous-entendre votre voix. Vous avez la possibilitĂ© d'exprimer votre confiance en vous-mĂȘme ou faire semblant d’avoir de l’assurance, mĂȘme si ce n'est pas le cas, en vous servant de votre langage corporel. La gestuelle que vous adoptez lorsque vous parlez ainsi que la posture que vous avez vous permettront d’occuper plus d'espace et vous rendront d’ailleurs plus confiant [3] . Veillez Ă  maintenir une posture autoritaire. Tenez-vous bien droite, vos pieds solidement ancrĂ©s au sol, les bras tout le long du corps et les mains dĂ©tendues. Regardez votre harceleur droit dans les yeux et ayez le visage dĂ©contractĂ©. Vous pourriez mĂȘme sourire un peu, car cela montre que vous avez de l'assurance [4] . Faites l'effort d'adopter une position de force pour prouver que vous ĂȘtes plus confiant. Ce faisant, vous augmentez votre confiance en vous et amĂ©liorez votre bienĂȘtre pendant une courte durĂ©e [5] . Vous pouvez par exemple vous tenir debout comme un superhĂ©ros, en ayant vos mains Ă  la hanche, les pieds bien Ă©cartĂ©s, la poitrine bombĂ©e et le menton redressĂ©. Restez dans cette position pendant environ deux minutes. 5 RĂ©agissez de maniĂšre calme. L'intimidation prend encore plus d’ampleur lorsque la victime rĂ©pond avec colĂšre, et pour cela, il est prĂ©fĂ©rable que vous rĂ©agissiez de façon calme. PlutĂŽt que de fondre en larmes ou de hurler une rĂ©plique furieuse, faites l'effort de rĂ©agir le moins possible. En faisant cela, vous prouverez Ă  la brute qu’elle ne vous effraie pas et que vous n'avez pas peur de ses propos. Ne rĂ©pondez pas directement aux propos de la brute. Au contraire, dites quelque chose qui prouve que vous n'ĂȘtes pas intĂ©ressĂ© par ce qu'il dit. Vous pourriez par exemple dire Tu as fini de parler ? Je n'ai vraiment pas prĂȘtĂ© attention Ă  ce que tu disais » ou Ta vie doit vraiment ĂȘtre trĂšs ennuyeuse pour que tu t'intĂ©resses tout le temps Ă  la mienne [6] . » Faites l'effort de ne pas vous retrouver dans un cycle de provocation. Vous pourriez ĂȘtre tentĂ© de rĂ©pondre Ă  la brute en la provoquant de la mĂȘme maniĂšre qu'elle le fait avec vous, mais il est probable que cette rĂ©action se retourne contre vous, car cela prouverait que vous avez Ă©tĂ© irritĂ© par ses propos. Le fait de montrer une quelconque rĂ©action affective en rĂ©ponse Ă  la provocation amĂšne gĂ©nĂ©ralement le harceleur Ă  vouloir continuer. 6 Laissez la brute vous provoquer. Faites l'expĂ©rience et pendant une semaine, adoptez un nouveau comportement partout oĂč l'on vous a provoquĂ© ou maintenez carrĂ©ment cette attitude si vous n’ĂȘtes pas souvent embĂȘtĂ©. Permettez aux gens de vous narguer autant qu'ils le veulent, sans montrer la moindre rĂ©action. Si au bout d'une semaine, ils continuent de vous agacer, vous devez laisser tomber cette stratĂ©gie [7] . La meilleure façon de faire preuve de calme pendant qu'on vous provoque, c'est de choisir de croire que la provocation ne vous dĂ©range pas. De cette façon, si vous donnez une rĂ©ponse Ă  une interrogation directe ou si vous faites usage d’un mot d’esprit, votre ton sera sincĂšre et ferme plutĂŽt que d'ĂȘtre sarcastique ou furieux. Dites-vous Il n'y a aucun mal au fait qu'ils me harcĂšlent, car cela ne me dĂ©range pas le moins du monde. » Croyez en ce mantra, et ce sera le cas. 7Voyez cela comme un compliment. Il est possible que vous soyez la cible d'un harcĂšlement, non pas parce que la brute vous mĂ©prise, mais simplement parce que vous lui plaisez et qu’elle ne sait pas comment vous aborder autrement qu’en faisant preuve d’hostilitĂ©. MĂȘme si l’autre a de mauvaises intentions en vous provoquant, si vous prenez cela comme un compliment, il vous sera plus facile de ne pas vous Ă©nerver. PublicitĂ© 1 Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratĂ©gies pour faire face aux provocations consiste Ă  faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague. S'ils se prĂ©sentent devant vous et essayent de vous obliger Ă  rĂ©pliquer, mettez simplement la main Ă  l'oreille et remuez la tĂȘte. Cela peut se transformer en une situation drĂŽle, surtout si vous remuez la bouche sans rien dire ou que vous faites comme si vous Ă©tiez dans une boite ou derriĂšre un mur qui vous sĂ©pare d’eux. Faire usage d'humour peut calmer les tensions. Si vous prouvez au harceleur Ă  quel point ses farces sont drĂŽles alors qu'elles devraient vous faire mal, il est probable qu'il elle vous laissera tranquille [8] . 2 Partez sans rien dire. Vous pourriez ignorer le harceleur de façon classique, en partant sans rien dire, mĂȘme si ce geste peut aussi induire une rĂ©action affective chez lui. Si vous adoptez une mauvaise posture au moment de vous en aller, vous aurez l'air dĂ©fait. Autrement, si vous vous dĂ©tournez avec les larmes aux yeux ou le visage rougi, la brute saura qu'elle vous a eu. Faites l'effort de partir la tĂȘte haute, comme s’il n'avait aucune importance Ă  vos yeux. Agissez comme si vous aviez l'intention de partir de toute façon. 3BĂąillez au lieu de vous Ă©nerver. Avoir l'air ennuyĂ© constitue Ă©galement un signe d'indiffĂ©rence face Ă  la provocation. Vous pouvez aussi croiser les bras et taper le sol du pied pour montrer votre impatience, tout en regardant votre poignet pour signaler que vous n'avez pas de temps Ă  perdre pour cela. L'ennui prouve que vous n'ĂȘtes pas embarrassĂ©, et la brute finira par passer son chemin. 4 RĂ©pliquez en abordant un sujet diffĂ©rent. Si un individu s'approche de vous dans l'intention de vous embĂȘter et que vous ne voulez pas le laisser faire, ripostez avec une question ou un commentaire qui n'a rien Ă  voir avec ses railleries. Le fait de l'ignorer de cette façon prouve que vous n'ĂȘtes pas disposĂ© Ă  accepter ses taquineries. RĂ©pondez en faisant une blague du genre Quelle danse les tornades prĂ©fĂšrent-elles le plus ? Twister [9] ! » Faites un commentaire Ă  propos de quelque chose d'autre, comme la mĂ©tĂ©o ou un Ă©vĂšnement. 5 Signalez la provocation Ă  une autoritĂ© ou Ă  un adulte. Au cas oĂč aucune de ces stratĂ©gies pour ignorer ne fonctionnerait, et si le harceleur ne donne pas aprĂšs quelque temps l’impression qu’il compte s’arrĂȘter, vous pouvez le signaler Ă  un supĂ©rieur votre patron par exemple si c’est sur un lieu de travail, Ă  un adulte ou Ă  un enseignant. Toutefois, la premiĂšre chose que vous devez faire en face de cet adulte, c'est de lui demander des conseils et non une solution. La situation peut empirer si vous n'arrivez pas Ă  rĂ©soudre ce problĂšme par vous-mĂȘme. Le fait d'amener quelqu'un d'autre Ă  affronter le harceleur prouve, autant que le fait de pleurer et de se mettre en colĂšre sur le moment, que la brute a rĂ©ussi Ă  vous atteindre. PublicitĂ© 1 Comprenez qu'il s'agit d'un jeu. Bien que chaque harceleur ou brute ait diffĂ©rents motifs pour attaquer quelqu'un, la raison commune est qu'il voit cela comme un jeu. Lorsque vous ripostez, il remporte la partie. Par contre si vous ne rĂ©agissez pas, vous gagnez. Ce n'est pas amusant de perdre et c'est la raison pour laquelle lorsque vous minimisez les actes du harceleur, il vous laisse tranquille [10] . Si un individu vous provoque parce qu'il vous apprĂ©cie, c’est toujours un jeu, mais le fait de ne pas rĂ©agir ne l'arrĂȘtera pas dans ce cas. Cela pourrait plutĂŽt l’amener Ă  se montrer honnĂȘte et Ă  vous avouer que vous lui plaisez. 2 Sachez qu'ils trouvent cela amusant. Vous devez comprendre que les brutes harcĂšlent parce qu'elles trouvent cela divertissant. Il s'agit d'une distraction Ă  laquelle elles s'adonnent afin de se sentir bien et d'oublier leurs Ă©motions nĂ©gatives. Elles ne s'en prennent pas toujours aux autres parce qu’elles ne les aiment pas ou qu’elles ont une piĂštre opinion d'eux. DĂšs que vous constatez que cela n'est toujours pas aussi personnel que cela en a l’air, il vous sera plus facile de ne pas laisser la provocation vous atteindre [11] . Renseignez-vous sur les antĂ©cĂ©dents du harceleur et voyez si ce dernier avait dĂ©jĂ  eu une triste expĂ©rience dans sa vie. Le fait d'Ă©prouver de la compassion envers lui constitue Ă©galement un excellent moyen de l'empĂȘcher de vous provoquer. 3Sachez que tout tourne autour de vos rĂ©actions. Il importe de toujours comprendre que ce sont vos rĂ©actions qui importent en matiĂšre de provocation. Si vous ne rĂ©agissez pas, le jeu prend fin et vous avez ainsi gagnĂ©. La vĂ©ritĂ© est que la meilleure maniĂšre de riposter Ă  une provocation, c'est de ne pas rĂ©agir. PublicitĂ© Conseils Si vous n'arrivez vraiment pas Ă  gĂ©rer tout seul la situation, parlez-en Ă  vos parents ou Ă  votre professeur ou Ă  une autre figure d’autoritĂ©. Ce dernier pourra s'impliquer et affronter la brute. Si vous fondez en larmes alors que vous avez tout fait pour y rĂ©sister, faites simplement comme si elles ne sont pas prĂ©sentes. Ces astuces s'appliquent Ă  toute situation, que vous soyez sur une aire de jeux, en ligne, Ă  la maison ou en classe. Essayez de rĂ©pondre en faisant un compliment. Cela fonctionne dans certains cas. Le harcĂšlement concerne gĂ©nĂ©ralement les personnes qui sont timides, si vous avez confiance en vous et ĂȘtes entourĂ©e d'amises cela vous arrivera moins. PublicitĂ© Avertissements Ne laissez personne vous bousculer. Si ces stratĂ©gies ne fonctionnent pas, sollicitez toujours l'aide de quelqu'un. Il n'y a pas de mal au fait que vous n'arriviez pas Ă  gĂ©rer tout seul le problĂšme, surtout aprĂšs que vous avez tentĂ© de le faire en vain. Si un harceleur menace de vous battre parce que vous ne rĂ©agissez plus, signalez-le immĂ©diatement Ă  une figure d’autoritĂ©. PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 116 645 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Ontraite ensuite des figures majeures illustrant la tension entre Dieu et le mal, Ă  travers CaĂŻn et Abel, Job, l’injustice de Dieu et la mĂ©chancetĂ© de l’homme ; ceci impose une conversion, dont le modĂšle biblique est celui des pĂšlerins d’EmmaĂŒs, et de Paul renversĂ© sur le chemin de Damas. Aimer la Bible, c’est aimer l’homme jusque dans sa mĂ©chancetĂ©, et Dieu jusque dans Certaines personnes pensent qu’il leur est bĂ©nĂ©fique de souffrir, et peuvent donc aller jusqu’à s’enchanter de leur malheur, voire mĂȘme jusqu’à le provoquer. La meilleure rĂ©ponse que l’on puisse donner Ă  ce type de personnes consiste Ă  leur donner une leçon de bontĂ©. Il s’agit lĂ  de la rĂ©action la plus juste et la plus respectueuse que l’on puisse avoir face Ă  ce type de concepts de bien et de mal ont Ă©tĂ© largement Ă©tudiĂ©s au fil de l’histoire ; en effet, l’ñme humaine a la capacitĂ© de se rapprocher des deux. Cela dĂ©pend Ă©galement beaucoup de la culture, de la sociĂ©tĂ©, ainsi que d’autres variables que l’on peut introduire dans le plus d’apporter des Ă©lĂ©ments techniques et scientifiques Ă  ce sujet, dans cet article, nous allons chercher Ă  atteindre la rĂ©flexion individuelle. Nous partirons alors d’une situation concrĂšte et abstraite oĂč une personne agit avec mĂ©chancetĂ© et nous fait du mal. Comment pouvons-nous donc rĂ©pondre Ă  cela ?Pourquoi la bontĂ© est-elle une bonne leçon Ă  donnerIl existe de nombreuses raisons pour lesquelles la bontĂ© peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une grande leçon, mĂȘme si on ne parvient jamais Ă  comprendre ce qui a menĂ© l’autre Ă  nous faire du mal. En passant par la bontĂ© pour rĂ©pondre Ă  la mĂ©chancetĂ©, on ne libĂšre pas l’autre du mal qu’il nous a fait, mais en revanche, nous nous libĂ©rons nous-mĂȘmes de nos Ă©motions il est trĂšs compliquĂ© de pardonner Ă  l’autre, et c’est comprĂ©hensible. Cependant, il suffit de se rappeler que l’on peut pardonner sans pour autant oublier ce qu’il s’est passĂ© ou accorder de nouveau toute sa confiance. Ainsi, le pardon ne nous rend pas naĂŻf-ve-s ni plus vulnĂ©rables, mais nous libĂšre seulement d’un lourd poids qui maintient ouverte la blessure des dommages causĂ©s. “A chaque nouvelle exaction, Ă  chaque nouvelle cruautĂ©, nous devrions opposer un petit supplĂ©ment d’amour et de bontĂ© que l’on doit conquĂ©rir en nous-mĂȘmes.” – Etty Hillesum – La bontĂ© agit comme une leçon car elle est gratifiante, qu’elle fomente la solidaritĂ©, qu’elle bĂ©nĂ©ficie Ă  l’estime de soi et qu’elle ouvre la porte Ă  la souffrance et Ă  l’apprentissage. Un acte de bontĂ© se dirige vers les autres et vers soi. Mais un acte de mĂ©chancetĂ©, au contraire, ne vise que des intĂ©rĂȘts bontĂ© naĂźt du coeur On ne naĂźt ni bon-ne-s ni mauvais-e-s, mais on cultive la bontĂ© ou la mĂ©chancetĂ© Ă  mesure que l’on grandit Ă©motionnellement. C’est pourquoi nous pouvons dire que la bontĂ© naĂźt du coeur et qu’elle s’en nourrit. Si au fil de notre vie nous voulons avancer sans blesser personne, comment pouvons-nous rĂ©pondre avec vengeance Ă  ce qui ne cherche qu’à faire du mal ?Une rĂ©ponse Ă  la hauteur d’une mauvaise action ne change rien, ne fait pas disparaĂźtre la souffrance et ne soulage que momentanĂ©ment. La rancune dĂ©truit, transforme et ne recueille aucun fruit positif en soi. Par consĂ©quent, non seulement vous perdrez tout, mais en plus, vous ne gagnerez rien. “Mais il y avait en plus un art plus grand, un art qui ne s’apprend pas celui de la bontĂ©.” – Úrsula K. Le Gin – De mĂȘme que l’a affirmĂ© M. Gandhi, il serait bĂ©nĂ©fique que nous soyons tou-te-s le changement et que nous voulons voir dans le monde, et ce en toutes situations ; des plus difficiles Ă  surmonter aux plus simples. On peut aussi se fier Ă  l’éthique de Kant, qui affirmait que la vertu rĂ©sidait dans le fait de “faire de notre agissement un agissement universel”.Ne permettez pas Ă  la mĂ©chancetĂ© de s’instaurer autour de vousNous sommes entourĂ©-e-s par la haine, la violence et la peur de ce qu’il est nĂ©cessaire d’inculquer en tant que valeurs qui contribuent Ă  un bien-ĂȘtre social et individuel, des valeurs qui empĂȘchent une escalade des attitudes censurables qui nous entourent. De fait, celleux qui ont vĂ©cu cela ont dĂ©couvert que le fameux proverbe “oeil pour oeil, dent pour dent” ne sert Ă  rien, car au bout du compte, nous finissons tou-te-s ne peut pas permettre Ă  la mĂ©chancetĂ© de s’instaurer autour de nous, de mĂȘme qu’on ne peut pas non plus y avoir recours pour punir les autres. La bontĂ© donne l’exemple et n’entend pas tous ces sentiments qui enveniment en derniĂšre instance. Sa façon de canaliser ces derniers est diffĂ©rente elle garde en mĂ©moire les Ă©vĂ©nements et dĂ©terre les sentiments Ă  un mauvais geste, rĂ©pondez avec une bonne action. Si vous avez tellement souffert que vous ne savez plus quel chemin emprunter, donnez-vous le temps de guĂ©rir non pas pour oublier, mais pour diriger vos mouvements avec rationalitĂ©, et pas dans la colĂšre. En dernier lieu et s’il n’y a pas de solution, si vous ne pouvez pas faire un travail pĂ©dagogique, Ă©loignez-vous sans faire de mal car ce n’est pas un comportement qui vous sied. “Le monde n’est pas menacĂ© par les mauvaises personnes, mais par celles qui permettent la mĂ©chancetĂ©.” – Albert Einstein –
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BLOGUE L'injustice nous fait parfois dire des bĂȘtises. Heureusement, il y a un moyen subtil de ne plus pĂ©ter une coche.

CaĂŻn a le souffle coupĂ© par un sentiment d’injustice et d’humiliation. Le premier, il a inventĂ© ce beau geste qu’est l’offrande pour Dieu. Abel a suivi. RĂ©sultat L’Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande mais il ne porta pas un regard favorable sur CaĂŻn et sur son offrande. Le texte ne nous donne aucun motif Ă  ce refus. C’était pourtant l’occasion de nous donner une bonne petite leçon sur la juste relation Ă  Dieu, mais non, ce texte ne nous parle pas de cela mais de cette expĂ©rience humaine fondamentale qu’est celle de subir l’injustice et l’humiliation. Les premiers chapitres de la GenĂšse explorent l’essentiel de la condition humaine. Ce rĂ©cit est le 3e des grands mythes qui ouvrent la Bible. Le 1er est celui de Dieu comme source de vie, faisant reculer le chaos par sa Parole. Le 2e mythe est celui du pĂ©chĂ© de l’homme quand il choisit comme dieu son propre dĂ©sir Ă  la place du CrĂ©ateur. Et le 3e mythe est ce rĂ©cit de CaĂŻn face au sentiment d’injustice et d’humiliation. Parce qu’aprĂšs avoir dit dans le 1er mythe l’immense Ă©lĂ©vation de l’humain, créé Ă  l’image mĂȘme de Dieu, les deux mythes suivants disent ce qui peuvent tuer l’homme. Dans le 2Ăšme mythe, l’homme se place plus haut qu’il n’est en rĂ©alitĂ©. Dans le 3 Ăšme mythe, l’homme est au contraire Ă©crasĂ© par le sentiment d’humiliation et d’injustice. Nous avons donc ici le rĂ©cit des deux plus grandes difficultĂ©s qui sont les nĂŽtres le pĂ©chĂ© de base, et la morsure de l’injustice de la vie en ce monde. À chaque fois, l’épreuve ne vient pas de Dieu, Ă  chaque fois Dieu intervient pour sauver l’homme, il n’y arrive qu’en partie, laissant apparaĂźtre un humain gardant des cicatrices de ses chutes, mais en marche et faisant de grandes choses, comme Adam et Ève, puis CaĂŻn et sa descendance. Prenons donc courage, Dieu ne nous laissera pas tomber comme une vieille chaussette. Pas mĂȘme quand nous sommes coupable, et certainement pas si nous sommes frappĂ©s par l’injustice. Le bĂ©bĂ© qui vient de naĂźtre est comme Adam et Ève, il complĂštement Ă©gocentrique, il se trouve digne d’ĂȘtre servi et adorĂ© de tous, d’abord par ce dieu qu’est sa maman. Il lui faudra apprendre qu’il a une autre place, une autre vocation dans le monde. L’enfant fait ensuite rapidement l’expĂ©rience du sentiment d’injustice. Nous y sommes infiniment plus sensible qu’à la notion de justice qui demande dĂ©jĂ  une vĂ©ritable Ă©volution dans une visĂ©e au-delĂ  de soi-mĂȘme, vers quelque chose de plus grand. Alors qu’à la moindre injustice ou humiliation, mĂȘme un enfant est trĂšs profondĂ©ment atteint. Et nous aussi, nous toujours, bien entendu. Il nous faut donc apprendre Ă  dĂ©masquer ce danger, et Ă  l’affronter. Cette page de la Bible dĂ©crit bien cet effet, que nous connaissons tous CaĂŻn fut trĂšs irritĂ©, et son visage fut abattu. L’injustice fait monter notre colĂšre, et la colĂšre ruine notre libertĂ©, elle nous prend par le bout du nez, un voile noir obscurcit nos yeux. L’humiliation, elle, nous fait nous sentir moins que rien, comme CaĂŻn et son visage abattu » Ă  terre, se sentant rejetĂ© de tous et mĂȘme de Dieu pense-t-il. A quoi bon alors faire quoi que ce soit ? Mais au moins sur ce plan lĂ , Dieu peut faire des miracles, et ouvrir les yeux de l’aveugle et faire danser le paralytique. C’est vrai que la vie est injuste, il y a des inĂ©galitĂ©s partout. Certains naissent pauvres dans un pays en guerre, d’autres riches au pays de cocagne, avec de l’intelligence ou ne comprenant rien, et la maladie ou des chances incroyables... tant d’injustices qui n’ont souvent aucune cause morale ou divine. Cette histoire de CaĂŻn montre l’homme frappĂ© par cette expĂ©rience universelle du mal qui nous frappe injustement. Il peut nous arriver alors de chercher une cause Ă  ce malheur et d’inventer un dieu mĂ©chant, dĂ©mon, diable, satan, ou une mauvaise conjonction de planĂšte, ou la faute aux immigrĂ©s », que sais-je ? Il nous arrive mĂȘme de nous en prendre Ă  nous-mĂȘmes pour le mal qui nous arrive pour tenter de lui donner du sens. Il n’en a pas nĂ©cessairement. Dieu est en train de crĂ©er le monde et il subsiste une importante par de chaos qui distribue les cartes au hasard. Et mĂȘme si ces malheurs Ă©taient en partie la faute de CaĂŻn, le texte n’en dit pas un mot. Finalement ce n’est pas la question mais celle du sentiment d’injustice quand il nous frappe et le risque que cela prĂ©sente pour nous et notre entourage, et ce qui aurait pu l’éviter. Dans cette façon de raconter l’histoire, la GenĂšse nous dĂ© prĂ©occupe de la question de l’origine du malheur. Cela pose le pardon de Dieu comme une base solide, la question maintenant est de gĂ©rer notre dĂ©ception d’ĂȘtre dans un monde qui n’est pas encore fini. Cette attitude face au mal est reprise par JĂ©sus quand il rencontre un aveugle de naissance et que ses disciples interrogent JĂ©sus pour savoir qui a pĂ©chĂ© pour que cet homme soit ainsi frappĂ© par le malheur, et JĂ©sus rĂ©pond comme cette histoire de la GenĂšse que ce n’est pas la question, mais puisque le malheur est lĂ , il faut que nous fassions, ensemble, les Ɠuvres de Dieu, pour crĂ©er, pour soigner, pour libĂ©rer. Comment rĂ©agir quand nous sommes frappĂ©s injustement ? Comment ĂȘtre plus fort que cette colĂšre et ce sentiment d’humiliation ? MĂȘme dans la pire des catastrophes qui nous arrivent, il y a toujours quelqu’un qui a connu pire et qui s’en est sorti. Par exemple Martin Gray qui est passĂ© par Auschwitz, a perdu toute sa famille une premiĂšre fois dans les camps nazis, puis une deuxiĂšme fois dans un incendie de forĂȘt, et qui a encore et encore rebondi, continuant Ă  vivre comme tĂ©moin de la beautĂ© de la vie et engagĂ© dans de belles Ɠuvres humanitaires... Dans un sens, c’est encourageant, cela montre qu’il y a toujours une sortie possible. On devrait donc pouvoir nous aussi s’en sortir. Le problĂšme c’est qu’il y a encore une autre injustice de plus, une injustice face Ă  l’injustice nous n’avons pas tous cette force-lĂ . En particulier face au malheur, et encore plus face Ă  l’injustice ou Ă  l’humiliation. Il arrive que des personnes formidables de bontĂ©, de sagesse et de foi s’écroulent Ă  bout de force. Car l’injustice crĂ©e la colĂšre qui nous emporte, et l’humiliation peut faire Ă©clater nos forces, notre courage, briser notre cƓur. C’est d’autant plus le cas que les malheurs frappent parfois en rafale. DĂ©jĂ  affaibli par un premier coup, il est plus facile de tomber malade ou d’avoir un accident. A ce propos, il y a un mot trĂšs dangereux, Ă  mon avis, dans la 1Ăšre lettre de Paul aux Corinthiens qui est par ailleurs merveilleuse Dieu est fidĂšle, il ne permettra pas que vous soyez Ă©prouvĂ© au-delĂ  de vos forces, avec l’épreuve il prĂ©parera aussi le moyen d’en sortir, afin que vous puissiez la supporter.1 Cor. 1013 C’est souvent vrai, et nous verrons par la suite comment Dieu peut nous aider. Mais ce quote est aussi trĂšs culpabilisant pour celui qui n’arriverait pas Ă  remonter la pente aprĂšs une terrible Ă©preuve de la vie. Non seulement il doit subir l’injustice d’avoir Ă©tĂ© frappĂ© par une catastrophe, mais ce quote y ajoute l’humiliation en le dĂ©clarant coupable de ne pas arriver Ă  s’en sortir ! Ce n’est pas toujours le cas. Dieu ouvre des portes de sortie, je le pense vraiment. Mais pour ce qui est des forces, il arrive que la souffrance, la colĂšre, les coups rĂ©pĂ©tĂ©s, la perte de confiance en nous, soient au-dessus de nos forces. Et ce n’est pas par manque de foi. Ni par manque de bonne volontĂ© de Dieu ! Tout le monde n’a pas la force de Paul face aux difficultĂ©s, mĂȘme si, peut-ĂȘtre par humilitĂ© il a pensĂ© que tout le monde pouvait supporter ce qu’il a traversĂ©. Il faut au moins lire ce passage collectivement. LĂ , peut-ĂȘtre qu’il est dĂ©jĂ  un peu plus vrai Ensemble, quand la compassion et le soutien mutuel jouent pleinement, celui qui est fort Ă  un moment donnĂ© venant en aide Ă  celui qui faiblit, nous avons alors plus de chance d’avoir les forces de nous en sortir. Il y a alors moins d’exceptions Ă  ce que dit l’apĂŽtre Paul. Le premier des combats pour la justice est peut-ĂȘtre lĂ  plus que n’importe oĂč ailleurs, faire que celui qui est terrassĂ© par l’injustice ne se sente pas seul, et encore moins jugĂ©, mais un peu soutenu. D’ailleurs, c’est ce que Dieu fait en allant vers notre CaĂŻn submergĂ© par la colĂšre et humiliĂ© plus bas que terre. C’est ce qu’aurait dĂ» faire Abel, il aurait pu sentir que son frĂšre n’était pas en forme, surtout quand il est venu vers lui, avec une tĂȘte qui devait en dire long. Mais Abel venait de remporter un grand succĂšs et il n’y a pas que le malheur qui Ă©tourdit, le triomphe aussi, comme le montrait dĂ©jĂ  l’histoire d’Adam et Eve. Mais Dieu se penche vers CaĂŻn et lui parle. Et chaque fois que la Bible nous dit que Dieu parle, c’est dans la priĂšre que nous sommes invitĂ©s Ă  vivre cette expĂ©rience. La premiĂšre parole de Dieu est Pourquoi es-tu irritĂ©, et pourquoi ton visage est-il abattu ? » Encore une fois, la question n’est pas de chercher Pourquoi est-ce que ce malheur m’est arrivĂ© ? » puisque de toute façon Dieu ne veut pas le malheur, pas mĂȘme celui du coupable, tout malheur est injuste Ă  ses yeux. Mais la question est un pourquoi posĂ© sur l’étape suivante, sur la façon de vivre le malheur et cette question est intĂ©ressante. Cette question est mĂȘme complexe, ambivalente, car ŚœÖžÖšŚžÖžÖŒŚ” lamah » en hĂ©breu, veut dire Ă  la fois pourquoi ? » en un mot, et pour quoi ? » en deux mots dans quel but ? ». Cette double question ouvre dĂ©jĂ  des brĂšches dans notre enfermement. D’abord le pourquoi es-tu irritĂ©, abattu », parce que je t’aurais abandonnĂ© ? Mais je suis lĂ , dit l’Éternel. Alors est-ce parce que le malheur t’a frappĂ© ? Et bien oui, avec toi j’en suis irritĂ© et tu as bien raison d’ĂȘtre irritĂ© de l’injustice de la vie, c’est une chose que je ne supporte pas non plus, que je dĂ©nonce Ă  haute voix, et sur laquelle je travaille chaque jour. Et pour laquelle j’embauche, Ă  propos, tiens ! Ensuite, parce que Dieu est source de rĂ©surrection, on peut, avec lui, passer du pourquoi en un mot Ă  une recherche des pour-quoi possibles en deux mots. C’est Ă  dire se demander comment transformer le pire des prĂ©sents en un futur pas si mal que ça, un futur qui n’est pas un retour dans la passĂ© Ă  la situation prĂ©cĂ©dent la catastrophe, mais autre chose qui est peut-ĂȘtre mĂȘme mieux que tout ce qu’il y avait avant. C’est deux pourquoi sont encore tout douloureux, comme un accouchement, mais ils sont dĂ©jĂ  un amour de la vie. L’amour est comme ça. On aime ceux que l’on aime tels qu’ils sont aujourd’hui, avec leurs qualitĂ©s et leurs dĂ©fauts et jamais on n’abandonne d’essayer qu’ils aillent mieux encore. Commencer Ă  aimer la vie en vĂ©ritĂ©, c’est ça Ă©galement. Oui, la vie est bien trop injuste et humiliante, mais Ă  dĂ©faut d’arriver Ă  voir aujourd’hui combien elle est par ailleurs merveilleuse, la vie a une qualitĂ© c’est d’ĂȘtre vivante, et donc qu’elle a cette qualitĂ© d’évoluer, mĂȘme si c’est au pas d’une tortue. Se demander pourquoi suis-je abattu ? » est dĂ©jĂ  sortir de son malheur et le regarder de haut, c’est dĂ©jĂ  une rĂ©volte contre ce malheur. Et cela peut ĂȘtre de commencer Ă  en avoir assez d’ĂȘtre irritĂ© et abattu. Il n’est pas Ă©vident d’avoir ce dĂ©sir de s’en sortir. Car dans notre rĂ©volte contre l’injustice nous avons parfois l’impression que si l’on s’en sortait cela dirait Ă  la face du monde que l’injustice qui nous a frappĂ© n’était finalement pas si grave ? Et bien non, on pourra continuer Ă  combattre ce type d’injustices mais parce qu’elle est grave il ne faut pas la laisser ĂȘtre victorieuse. Cette rĂ©volte contre la souffrance, l’injustice et l’humiliation dont nous sommes victimes, nous ou notre prochain, elle nous donne de savoir faire la distinction entre la lumiĂšre et les tĂ©nĂšbres, entre le juste et l’injuste. Comme le dit JĂ©sus, la lumiĂšre Ă©tant venue dans le monde »... ce serait alors vraiment un sacrĂ© gĂąchis de prĂ©fĂ©rer les tĂ©nĂšbres Ă  la lumiĂšre ». Jean 319. Mais vient ensuite le pour-quoi » en deux mots, c'est un et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? Et choisir la lumiĂšre. L’Éternel poursuit en disant Ă  CaĂŻn Si tu fais du bien, n’y aura-t-il pas une Ă©lĂ©vation ? » C’est Ă©vident, car le moindre geste positif est dĂ©jĂ  une percĂ©e dans l’enfermement de la colĂšre, dĂ©jĂ  il nous ouvre sur autre chose que de ruminer l’injustice passĂ©e, il est une trace de bontĂ© et de justice dans notre vie, et en plus une justice dont nous sommes l’auteur. Le petit geste positif est dĂ©jĂ  une Ă©lĂ©vation. Face Ă  l’injustice, au fond de l’irritation et de l’humiliation, l’histoire de CaĂŻn ne nous demande pas de cesser d’ĂȘtre en colĂšre ou d’ĂȘtre abattu, par dĂ©finition ce genre de choses ne se maĂźtrise pas. Mais il nous propose de choisir de faire deux petites choses trĂšs concrĂštes, de prier ces pourquoi et de faire le moindre petit geste positif possible aujourd’hui. Encore et encore. Pour dominer cette sorte de monstre qui est tapi Ă  ma porte et qui me menace. Que va faire CaĂŻn ? Il passe directement au petit geste positif en allant parler Ă  son frĂšre, ce qui est excellent, trĂšs Ă  l’image de Dieu qui crĂ©e la lumiĂšre par la Parole. Mais peut-ĂȘtre que CaĂŻn a manquĂ© l’étape de la priĂšre des deux pourquoi, car il va craquer. La jalousie l’emporte, et blessĂ© par l’injustice, il va se retourner contre celui qui a eu plus de chance et l’éliminer. C’est bien entendu ajouter le pire au mauvais. CaĂŻn s’est cru trop fort. Or la question n’est pas tant d’ĂȘtre fort que de se laisser fortifier, encourager. C’est Ă  cela que la priĂšre des deux pourquoi nous ouvre, et que le petit geste commence Ă  incarner. Cette dĂ©marche, Paul la condense dans un rĂ©sumĂ© gĂ©nial Ă  la fin de sa 1Ăšre lettre aux Corinthiens 1613-14 Veillez, demeurez fermes dans la foi, soyez fortifiĂ©s, encouragĂ©s, Que de votre part, au moins, tout se fasse avec amour ! Notre PĂšre qui es aux cieux... nourrit notre ĂȘtre, sĂšme en nous quelque chose de l’ordre du pardon donnĂ© et reçu, et fais que nous ne soyons pas enfermĂ© dans les difficultĂ©s, dans notre colĂšre, dans l’injustice et dans notre humiliation. Notre PĂšre, dĂ©livre-nous du mal. Matthieu 611-13 Ça va aller.
Voiciles 76 citations qui vous aideront Ă  surmonter les insultes pour mieux vivre sa vie : L’insulte est un dĂ©nigrement de l’autre. La profĂ©rer comme l’entendre est nĂ©faste pour l’estime de soi-mĂȘme. Peu importe la personne qui essaie de te rabaisser, si elle essaie de te rabaisser, c’est pour que tu sois Ă  son niveau.
Accueil > pied dans la porte > Effet miroir un atout incroyable pour mettre fin Ă  la tristesse dans votre vie Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en dĂ©veloppant un projet qui a du SENS. AprĂšs avoir accompagnĂ© plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prĂ©nom et votre email sur la page suivante pour y accĂ©der Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement dĂ©jĂ  + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment. Parlons aujourd’hui de l’effet miroir, un concept qui peut sembler anodin. On en entend beaucoup parler dans les forums rĂ©servĂ©s au dĂ©veloppement personnel. Mais en fait, beaucoup de gens qui en parlent ne savent pas vraiment de quoi il s’agit. MĂȘme des pseudo-professionnels ne compr
LedeuxiĂšme consisterait Ă  minimiser leur conduite face aux problĂšmes auxquels ils durent faire face. Il y a eu, certes, des silences coupables, des attitudes rĂ©prĂ©hensibles, de la pusillanimitĂ©. Cependant, il ne faudrait pas complĂštement enfermer l’Église dans cette dimension. Un simple regard sur l’histoire suffit pour nous convaincre que les Églises se sont mobilisĂ©es pour
Par pasteur Marc Pernot Question d’une visiteuse Bonjour mon pĂšre , J’ai une grande question Ă  me poser qui reste planter sur mon cheminement .. Effectivement je vois que le Seigneur m’aime , qu’il me guide etc .. mais j’ai l’impression que certaines personnes non croyantes sont complĂštements seuls .. je pense Ă  un jeune homme skyzophrene qui n’est pas croyant .. il ne s’en sort pas .. je me demande donc si Dieu aide tous les Hommes y compris les bons croyants ..Je me demande pourquoi moi il me guide et m’aide Ă  ce point lĂ  alors que d’autres sont placĂ©s en psychiatrie Ă  30 ans et pour le reste de leur jours ..? Merci pour les rĂ©ponses que vous pourrez m’apporter , Dieu vous bĂ©nisse RĂ©ponse d’un pasteur ChĂšre Madame Grand merci pour cette sensibilitĂ© Ă  ceux qui souffrent, de ne pas vous contenter de l’amour que vous sentez de Dieu pour vous, de vouloir que d’autres en profitent. C’est vrai que la vie n’est pas juste. Tant s’en faut. Et votre indignation, elle, est juste, elle est saine et inspirĂ©e. Nous ne croyons pas en Dieu malgrĂ© l’injustice du monde. C’est bien le contraire nous sentons que Dieu est prĂ©cisĂ©ment la source qui peut faire Ă©voluer les choses dans le bon sens, et aussi qui peut nous inspirer l’envie de faire ce que nous pourrons pour faire avancer les choses. La Bible commence en parlant d’un chaos de dĂ©sordre, vide de sens. Et le souffle de Dieu qui s’approche, au contact, afin d’ouvrir un espace vivable, Ă©tape par Ă©tape. Cette conception n’est pas seulement du passĂ©, cela parle de la structure du monde aujourd’hui. Le monde est encore en genĂšse. Il n’y a pas seulement un monde magnifique oĂč tout est en ordre. Il y a des choses absolument magnifiques et Il y a une part de chaos dans le monde, une part de chaos qui n’est pas la consĂ©quence de mauvaises actions, mais qui a toujours existĂ© dans ce monde, c’est une part de chaos non encore harmonisĂ©e. Cela fait de l’injustice et de la souffrance, des catastrophes et des maladies. A cela s’ajoute les souffrances que nous sommes capables d’ajouter, nous. Le souffle de Dieu est une expression imagĂ©e pour parler de son appel Ă  ĂȘtre qu’il adresse Ă  l’univers entier, et Ă  nous aussi. Un appel Ă  l’harmonie, Ă  la vie, aux relations belles. Ce souffle nous traverse et nous inspire assez naturellement Ă  espĂ©rer le bien et mĂȘme Ă  faire du bien autour de nous. Dieu, oui, pense Ă  chaque personne, Ă  chaque vie porteuse de souffle. Chacune a le mĂȘme prix Ă  ses yeux et il fait tout son possible pour aider chaque personne. C’est Ă  dire qu’il faut abandonner l’idĂ©e que Dieu soit une sorte de magicien tout puissant qui distribue les cartes de la vie, qui tire les ficelles du destin. Ces idĂ©es existent dans d’autres philosophies et religions, ce n’est pas comme cela que le lis la Bible, et cela ne correspond pas Ă  ce que vous observez. Dieu est, comme vous l’expĂ©rimentez une puissance d’amour, d’accompagnement, d’inspiration, de soucis de l’autre. Comment rĂ©agir face Ă  cette injustice dans la distribution des chances ? Il peut effectivement avoir des rĂ©actions malsaines face Ă  cette injustice de la vie peut-ĂȘtre de la colĂšre face Ă  l’injustice qui nous frappe, de la culpabilitĂ© quand les autres sont frappĂ©s et que nous sommes Ă©pargnĂ©, de la fiertĂ© pour la chance qui nous a favorisĂ© sans que nous n’y soyons pour rien
 Ces sentiments n’aide tellement Ă  avancer et faire avancer. C’est pourquoi vous faites bien de vous interroger. C’est Ă  mon avis le premier point Ă  faire face Ă  ce fait de l’inĂ©galitĂ© des rĂ©partition des chances s’interroger, ĂȘtre lucide, voir nos plus et nos moins en terme de faveurs par la vie. Ce qui nous revient ensuite est de faire quelque chose de cela. Nous ne sommes pas obligĂ©, c’est simplement que tout acte bon, tout acte crĂ©ateur de justice, tout geste ou toute parole belle amĂ©liore le monde. C’est comme une Ɠuvre d’art. La vie est un dĂ©fi pour nous, comme la toile blanche pour le peintre. Pour votre ami schizophrĂšne, ce n’est pas facile de rĂ©soudre cette difficultĂ©, mais si c’est possible, il y a une chose qui est aussi indispensable Ă  chacun que l’air que nous respirons c’est de se savoir ĂȘtre respectĂ©, aussi, si vous en avez la possibilitĂ©, je pense que cela lui serait prĂ©cieux de savoir que vous avez pensĂ© Ă  lui, que vous avez priĂ© pour lui afin qu’il se sente soutenu. Dieu vous bĂ©nit et vous accompagne. par pasteur Marc Pernot Si vous voulez, vous pouvez voir aussi, dans le petit dictionnaire de thĂ©ologie ou celui des mots qui piquent » Providence ThĂ©odicĂ©e Le4 s'intĂ©resse plus Ă  ses Ă©motions qu'Ă  celles de son interlocuteur. Le 7 le sent bien, et Ă  son tour fait un peu plus d'ego. Parce qu'il s'agit de deux personnalitĂ©s orientĂ©es vers l'intĂ©rieur, le 4 et le 7 ont en fait le mĂȘme problĂšme : ils s'intĂ©ressent un peu plus Ă  eux-mĂȘmes qu'aux autres. Quand il y a entre eux L’humanitĂ© connaĂźt, Ă  diverses Ă©chelles, des dĂ©ni Ă  la panique, des explications de leurs causes Ă  la mise en place du secours aux victimes politiques, scientifiques, journalistes et, de maniĂšre amplifiĂ©e par Internet, chacun de nous, prĂ©sentent un vĂ©ritable arc-en-ciel de rĂ©actions Ă  la crise. On pensera Ă  la pandĂ©mie de la Covid-19 qui agite les rĂ©seaux sociaux et les mĂ©dias ; mais aussi Ă  la terrible invasion de locustes qui a frappĂ© au mĂȘme moment l’Afrique de l’Est et l’Inde, ou Ă  la famine que connaĂźt de vouloir discerner des causes spĂ©cifiques de tels drames mĂšne Ă  la quĂȘte de coupables » Ă  blĂąmer Éclipse solaire que fait donc le gouvernement ? » Sans oublier les thĂšses de complots ourdis par des forces aussi obscures que puissantes – si secrĂštes que des milliers d’internautes savent » qu’elles existent. NĂ©anmoins, l’aspect soudain et dĂ©mesurĂ© de maux effrayants vient heurter notre idĂ©e d’un monde bien ordonnĂ© ; et, pour les croyants, celle de la providence d’un Dieu rĂ©agir aux catastrophes naturelles ?Le livre de JoĂ«l, une clĂ© de lectureUn petit livre de la Bible fonde son propos sur une double catastrophe naturelle celui du prophĂšte JoĂ«l, qui voit la conjonction d’une sĂ©cheresse et d’une invasion de locustes frapper le royaume de Juda. Un Ă©vĂ©nement d’une telle ampleur qu’il la prĂ©sente de maniĂšre comparable Ă  la huitiĂšme plaie d’Égypte, au temps de l’Exode]. En effet, la formulation de Jl 
 tel qu’il n’y en a jamais eu et qu’il n’y en aura plus » ressemble singuliĂšrement Ă  Ex 
 il y avait une masse de criquets telle qu’il n’y en avait jamais eu et qu’il n’y en aurait plus jamais par la suite. ».Comment le prophĂšte rĂ©agit-il Ă  ce double flĂ©au ?Le signe d’une rupture d’avec DieuIl est intĂ©ressant de noter que JoĂ«l n’évoque pas seulement le problĂšme de la famine, mais aussi le fait que la dĂ©vastation des cultures rend impossible le culte de Dieu Offrandes et libations ont disparu de la maison du Seigneur ; les prĂȘtres, officiants du Seigneur, sont en deuil. » Jl NBSJoĂ«l lit la catastrophe comme un signe de rupture d’avec le Seigneur. En effet, la sĂ©cheresse et les invasions de locustes sont prĂ©dites par la Tora comme des effets de l’infidĂ©litĂ© du peuple Ă  l’alliance que Dieu a scellĂ©e avec lui Dt et 28.JoĂ«l lit la catastrophe comme un signe de rupture d’avec le SeigneurL’occasion d’un retour Ă  DieuLa rĂ©action du prophĂšte consiste Ă  enjoindre le peuple, sous la direction des prĂȘtres, Ă  revenir au de l’organisation formelle du deuil national, JoĂ«l appelle Ă  un changement intĂ©rieur Ne dĂ©chirez pas vos vĂȘtements, mais votre cƓur, et revenez au Seigneur, votre Dieu ! » Jl fondement de la dĂ©marche repose sur la grĂące et la bontĂ© du Seigneur, en Ă©cho Ă  la formidable rĂ©vĂ©lation accordĂ©e Ă  MoĂŻse Ă  la suite de la rĂ©volte du veau d’or Ex relatif des explicationsIl est frappant que JoĂ«l – Ă  la diffĂ©rence de bien d’autres prophĂštes – ne dĂ©nonce pas de faute particuliĂšre de la part des JudĂ©ens il n’est question ni d’idolĂątrie ni d’injustice sociale, par contexte montre d’ailleurs plutĂŽt un culte pratiquĂ© selon les rĂšgles de la loi. Non qu’aucun pĂ©chĂ© n’ait Ă©tĂ© commis, mais JoĂ«l est moins intĂ©ressĂ© par le dĂ©tail des causes du problĂšme que par la nĂ©cessitĂ© d’une rĂ©conciliation avec Dieu et d’une restauration de l’alliance mise en est moins intĂ©ressĂ© par le dĂ©tail des causes du problĂšme que par la nĂ©cessitĂ© d’une rĂ©conciliation avec Dieu et d’une restauration de l’alliance mise en pĂ©rilÉchos dans d’autres passages bibliquesLa maniĂšre dont JoĂ«l apprĂ©hende les catastrophes naturelles trouve des parallĂšles ailleurs dans les peut penser aux Ă©preuves de Job, pour lesquelles ce juste souffrant recevra une rĂ©vĂ©lation nouvelle de Dieu, coupant court Ă  ses exigences d’explication et condamnant en mĂȘme temps la thĂ©ologie de rĂ©tribution immĂ©diate de ses JĂ©sus, Ă©voquant les dix-huit personnes Ă©crasĂ©es par la chute d’une tour Ă  SiloĂ©, rĂ©fute toute explication de causalitĂ© et appelle ses auditeurs Ă  revenir Ă  Dieu Pensez-vous qu’elles aient Ă©tĂ© plus coupables que tous les autres habitants de JĂ©rusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas radicalement, vous disparaĂźtrez tous pareillement. » Lc Ă©voquant les dix-huit personnes Ă©crasĂ©es par la chute d’une tour Ă  SiloĂ©, rĂ©fute toute explication de causalitĂ©Comprendre le tableau gĂ©nĂ©ralLa vision biblique de l’histoire du monde est qu’à la suite de la crĂ©ation – originellement bonne – une rupture historique entre l’ĂȘtre humain et Dieu, communĂ©ment appelĂ©e la Chute », a entraĂźnĂ© toute une sĂ©rie de consĂ©quences nĂ©fastes dont nous hĂ©ritons aujourd’hui. Le monde est soumis Ă  la vanitĂ© », comme l’explique Paul aux chrĂ©tiens de Rome Rm mĂȘme hors du contexte de l’Ancienne Alliance, les malheurs qui frappent le monde peuvent ĂȘtre compris comme les effets de la Chute. Et, Ă  ce niveau, il est vain de toujours chercher telle faute ou telle raison particuliĂšre aux catastrophes. Non qu’on ne puisse pas repĂ©rer certains enchaĂźnements causals spĂ©cifiques ; mais ils ne doivent pas nous obnubiler, couvrant de leur nuages la vision globale d’un monde malade et dĂ©traquĂ© en besoin de rĂ©demption. la Chute », a entraĂźnĂ© toute une sĂ©rie de consĂ©quences nĂ©fastes dont nous hĂ©ritons aujourd’huiPistes d’application nous tourner et tourner notre prochain vers DieuEn refusant de restreindre notre rapport aux drames de l’existence Ă  des explications – qui peuvent nous Ă©garer dans une vision schĂ©matique de causes et d’effets – nous pouvons simplement aller en nous-mĂȘmes » comme le dit bellement JĂ©sus du fils prodigue en dĂ©tresse en Lc plutĂŽt que blĂąmer tel ou tel supposĂ© coupable d’un malheur, apprenons Ă  revoir nos propres motivations, Ă  nous tourner vers Dieu loin de nos fautes, de nos Ă©garements, de nos vulnĂ©rabilitĂ© de l’existence et d’un monde soumis aux effets de la Chute nous envoie un memento mori souviens-toi que tu vas mourir qui nous contraint Ă  revisiter notre rapport Ă  l’espĂ©rance Ă©ternelle. PlutĂŽt que nous Ă©riger en donneurs de leçon – selon quelle science ? celle du cafĂ© du commerce ? – soyons comme JoĂ«l et le Christ, hĂ©rauts de la rĂ©demption offerte Ă  l’humanitĂ© Soyez rĂ©conciliĂ©s avec Dieu ! » 2 Co la tempĂȘte des colĂšres obscures et dans l’agitation des peurs, soyons des lumiĂšres pointant vers l’espĂ©rance que nous Ă©riger en donneurs de leçon – selon quelle science ? celle du cafĂ© du commerce ? – soyons comme JoĂ«l et le Christ, hĂ©rauts de la rĂ©demption offerte Ă  l’humanitĂ©
Doisje tout subir sans rien dire : Ou comment rĂ©agir Ă  l’injustice ? JĂ©sus est souvent comparĂ© Ă  un agneau silencieux conduit au supplice sans rĂ©sistance. Il a acceptĂ© pleinement l’injustice et la souffrance – sans les dĂ©nier, sans les minimiser, sans
Comment les chrĂ©tiens doivent-​ils rĂ©agir face aux calomnies? QUE ressentez-​vous lorsque quelqu’un vous outrage ou rĂ©pand des mensonges Ă  votre sujet? Naturellement, vous ĂȘtes profondĂ©ment blessĂ©. C’est ce que ressentent les TĂ©moins de JĂ©hovah quand ils sont l’objet de propos inexacts ou tendancieux dans les mĂ©dias. Mais, comme JĂ©sus l’a dit en Matthieu 511, 12, ils ont pourtant des raisons de se rĂ©jouir. En Allemagne, une revue catholique a prĂ©tendu que “chaque TĂ©moin est obligĂ© de verser entre 17 et 28 % de son revenu au siĂšge de la secte”. Pourtant, les TĂ©moins de JĂ©hovah ne forment pas une secte, et leur Ɠuvre est entiĂšrement financĂ©e par des offrandes volontaires. De nombreux lecteurs ont Ă©tĂ© abusĂ©s par ces renseignements erronĂ©s, au grand regret des TĂ©moins de JĂ©hovah. Mais comment les vrais chrĂ©tiens doivent-​ils rĂ©agir quand ils sont calomniĂ©s par les mĂ©dias? Un exemple pour les chrĂ©tiens Matthieu, chapitre 23 montre avec force comment JĂ©sus a condamnĂ© l’hypocrisie et la fourberie de ses adversaires. Est-​ce lĂ  un modĂšle dont les chrĂ©tiens peuvent s’inspirer quand on les critique? Pas vraiment. Le Fils de Dieu a accusĂ© ses opposants religieux en raison de l’autoritĂ© et du discernement exceptionnels qu’il possĂ©dait. Il a agi ainsi dans l’intĂ©rĂȘt des foules qui Ă©coutaient. Matthieu 151-11 rapporte que JĂ©sus Ă©tait critiquĂ© parce que, disait-​on, ses disciples outrepassaient la tradition juive. Comment JĂ©sus a-​t-​il rĂ©agi? Il a tenu tĂȘte. JĂ©sus a eu parfois de vifs Ă©changes avec ses dĂ©tracteurs, rĂ©futant leurs affirmations erronĂ©es. D’un point de vue gĂ©nĂ©ral, les chrĂ©tiens n’ont pas tort de tenter de rectifier les contrevĂ©ritĂ©s dites sur leur Ɠuvre ou leurs enseignements, afin d’éclaircir au mieux la situation en prĂ©sentant des faits et des arguments logiques. Ils agissent ainsi dans le but d’aider les personnes sincĂšres Ă  comprendre que les critiques dirigĂ©es contre les TĂ©moins de JĂ©hovah sont injustifiĂ©es et diffamatoires. Cependant, notez comment JĂ©sus a rĂ©agi, peu de temps aprĂšs, quand ses disciples lui ont fait remarquer “Sais-​tu qu’en entendant ce que tu viens de dire les Pharisiens ont trĂ©buchĂ©?” Ces Pharisiens avaient “trĂ©buchĂ©â€ ils n’étaient pas simplement irritĂ©s, mais ils sont devenus des opposants irrĂ©ductibles que JĂ©sus a rejetĂ©s. Celui-ci a donc rĂ©pondu “Laissez-​les. Ce sont des guides aveugles.” Toute conversation avec de tels adversaires Ă©tait vaine, inutile et aurait dĂ©bouchĂ© sur des controverses stĂ©riles Matthieu 76; 1512-14; voir aussi Matthieu 2711-14. La rĂ©ponse de JĂ©sus montre qu’il y a “un temps pour se taire et un temps pour parler”. — EcclĂ©siaste 37. Les TĂ©moins de JĂ©hovah ne s’attendent pas Ă  ce que tout le monde dise du bien d’eux. Ils gardent prĂ©sentes Ă  l’esprit ces paroles de JĂ©sus “Malheur, quand tous les hommes disent du bien de vous, car ce sont bien lĂ  les choses que leurs ancĂȘtres faisaient aux faux prophĂštes.” Luc 626. On a demandĂ©, un jour, Ă  Charles Russell, premier prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© Watch Tower, pourquoi il ne rĂ©pondait pas aux calomnies. Il a rĂ©torquĂ© “Si vous vous arrĂȘtez pour donner un coup de pied Ă  chaque chien qui aboie aprĂšs vous, vous n’irez pas trĂšs loin.” Nous ne devrions donc pas nous laisser dĂ©tourner de notre service divin par les commentaires de farouches opposants Psaume 11969. Concentrons-​nous sur l’Ɠuvre qui incombe aux vrais chrĂ©tiens, c’est-Ă -dire l’évangĂ©lisation. D’une maniĂšre naturelle, nous aurons des occasions de rĂ©pondre Ă  diverses questions et d’expliquer la nature de notre Ɠuvre Ă©lever le niveau moral de nos semblables et leur enseigner la Parole de Dieu. — Matthieu 2414; 2819, 20. Faut-​il rĂ©pondre aux critiques? JĂ©sus a dit Ă  ses disciples “Vous ne faites pas partie du monde ..., Ă  cause de cela le monde vous hait.” Jean 1519. De nombreux articles de journaux, qui calomnient les TĂ©moins de JĂ©hovah, sont en fait l’expression de cette haine et devraient par consĂ©quent ĂȘtre ignorĂ©s. Cependant, les mĂ©dias communiquent parfois des renseignements qui rĂ©vĂšlent une mĂ©connaissance des TĂ©moins ou qui dĂ©forment et dĂ©naturent les faits. Certains journalistes peuvent s’informer auprĂšs de sources tendancieuses. Ainsi, selon les circonstances, l’identitĂ© de nos dĂ©tracteurs et leurs intentions, nous pouvons prĂ©fĂ©rer ignorer les propos dĂ©formĂ©s des mĂ©dias ou dĂ©fendre la vĂ©ritĂ© avec des moyens adaptĂ©s. Les faits peuvent parfois ĂȘtre rectifiĂ©s par une lettre pertinente si le courrier des lecteurs est publiĂ© intĂ©gralement. NĂ©anmoins, une telle lettre pourrait avoir l’effet contraire. Comment cela? Il se peut que les propos fallacieux reçoivent ainsi plus de publicitĂ©, ou que les opposants se voient offrir une autre occasion d’imprimer des mensonges ou des calomnies. Dans la plupart des cas, il est sage de laisser les anciens dĂ©cider s’il est judicieux d’écrire Ă  la rĂ©daction. Si un article de presse fait du tort aux TĂ©moins, la filiale de la SociĂ©tĂ© peut informer les congrĂ©gations concernĂ©es, afin que les proclamateurs puissent rĂ©pondre de façon satisfaisante Ă  ceux qui posent des questions. Faut-​il que vous vous intĂ©ressiez individuellement Ă  toutes ces dĂ©clarations tortueuses? JĂ©sus a dit “Laissez-​les”, ignorez-​les. Ce conseil s’applique de toute Ă©vidence Ă  de tels adversaires de la vĂ©ritĂ©. Les chrĂ©tiens fidĂšles ont des raisons bibliques de fuir les apostats et leurs idĂ©es 1 Corinthiens 511-13; Tite 310, 11; 1 Jean 219; 2 Jean 10, 11. Si quelqu’un dĂ©sire sincĂšrement savoir si les critiques dirigĂ©es contre les TĂ©moins sont justifiĂ©es ou non, ces derniers peuvent en gĂ©nĂ©ral rĂ©pondre en s’appuyant sur leur connaissance des Écritures. — Voir La Tour de Garde du 15 mars 1986, pages 13 et 14. Si vous lisez des articles de presse mensongers, prenez Ă  cƓur le conseil de Proverbes 1415 “Quiconque est inexpĂ©rimentĂ© ajoute foi Ă  toute parole, mais le sagace considĂšre ses pas.” En Suisse, beaucoup de personnes ont Ă©tĂ© indignĂ©es en lisant cette nouvelle bouleversante une jeune femme, TĂ©moin de JĂ©hovah, est morte parce que sa famille a refusĂ© que le personnel mĂ©dical lui administre une transfusion sanguine. Ces faits Ă©taient-​ils exacts? Non. La patiente avait refusĂ© une transfusion pour des raisons religieuses, mais elle acceptait un traitement de substitution non sanguin. Ce traitement, qui aurait pu ĂȘtre entrepris sans difficultĂ©, lui aurait probablement sauvĂ© la vie. Toutefois, l’hĂŽpital a retardĂ© les soins sans raison et la patiente est morte. Mais le journal n’a pas relatĂ© ces faits. En consĂ©quence, il faut soigneusement Ă©valuer dans quelle mesure de tels articles disent la vĂ©ritĂ©. Vous pouvez expliquer Ă  vos interlocuteurs que les anciens des congrĂ©gations s’occupent de ce genre de cas avec amour, tout en respectant les directives bibliques. Si vous restez attachĂ© aux principes de la Bible, vous rĂ©pondrez sans tirer de conclusions hĂątives. — Proverbes 1813. Il faut se renseigner Ă  la source Au premier siĂšcle, des gens ont rĂ©pandu des mensonges au sujet de JĂ©sus Christ afin de nuire Ă  sa rĂ©putation. Certains le prĂ©sentaient mĂȘme comme un traĂźtre Luc 734; 232; voir aussi Matthieu 2221. Par la suite, la jeune congrĂ©gation chrĂ©tienne a rencontrĂ© une grande opposition Ă©manant de la religion et du monde. Puisque “Dieu a choisi les choses sottes du monde”, beaucoup considĂ©raient avec mĂ©pris ses serviteurs 1 Corinthiens 122-29. Aujourd’hui, les vrais chrĂ©tiens doivent s’attendre Ă  des calomnies, qui sont une forme de persĂ©cution. — Jean 1520. Les TĂ©moins de JĂ©hovah sont toutefois heureux quand leurs interlocuteurs se montrent impartiaux et manifestent le mĂȘme Ă©tat d’esprit que certains des hommes venus voir Paul, alors Ă  Rome, et qui lui ont dit “Nous jugeons convenable d’entendre de toi ce que tu penses, car, vraiment, pour ce qui est de cette secte, nous savons que partout on parle contre elle.” — Actes 2822. Vous pouvez fournir des explications aux personnes mal informĂ©es, et ceci avec douceur Romains 1214; voir aussi 2 TimothĂ©e 225. Invitez-​les Ă  recueillir des informations de premiĂšre main sur les TĂ©moins de JĂ©hovah; ainsi, elles ne se laisseront pas Ă©garer par des accusations mensongĂšres. Vous pouvez aussi utiliser les publications de la SociĂ©tĂ© Watch Tower qui donnent des prĂ©cisions sur l’organisation, son histoire et ses enseignements*. Un jour, Philippe a simplement rĂ©pondu Ă  NathanaĂ«l “Viens et vois.” Jean 146. Nous pouvons en faire autant. Nous accueillons aimablement toute personne qui dĂ©sire visiter la Salle du Royaume de sa localitĂ©, afin de constater par elle-​mĂȘme qui sont les TĂ©moins de JĂ©hovah et quelles sont leurs croyances. Ne craignez pas les opposants Comme il est encourageant de savoir que les calomnies n’empĂȘchent pas les gens de devenir TĂ©moins de JĂ©hovah! En Allemagne, au cours d’un dĂ©bat tĂ©lĂ©visĂ©, les apostats ont prĂ©sentĂ© un tissu de mensonges sur les TĂ©moins. Un spectateur a compris que les inventions des apostats dĂ©passaient la mesure, ce qui l’a incitĂ© Ă  reprendre une Ă©tude biblique avec les TĂ©moins. En fait, les calomnies peuvent avoir parfois d’heureuses consĂ©quences! — Voir Philippiens 112, 13. L’apĂŽtre Paul savait que certains prĂȘteraient plus attention Ă  des “fables” qu’à la vĂ©ritĂ©. Aussi a-​t-​il Ă©crit “Garde ton Ă©quilibre en toutes choses, endure le mal, fais l’Ɠuvre d’un Ă©vangĂ©lisateur, remplis pleinement ton ministĂšre.” 2 TimothĂ©e 43-5. Ne vous laissez donc pas Ă©garer, et ne vous laissez effrayer en rien’ par vos adversaires Philippiens 128. Conservez votre calme et votre sang-froid, prĂȘchez joyeusement la bonne nouvelle et vous demeurerez ferme devant les attaques. Gardez prĂ©sente Ă  l’esprit cette promesse de JĂ©sus “Heureux ĂȘtes-​vous quand on vous outrage, et qu’on vous persĂ©cute, et que l’on dit mensongĂšrement toute sorte de choses mĂ©chantes contre vous Ă  cause de moi. RĂ©jouissez-​vous et bondissez de joie, puisque votre rĂ©compense est grande dans les cieux; car c’est ainsi qu’on a persĂ©cutĂ© les prophĂštes qui ont Ă©tĂ© avant vous.” — Matthieu 511, 12. [Note] Voir Les TĂ©moins de JĂ©hovah — Unis pour faire la volontĂ© de Dieu sur toute la terre, Les TĂ©moins de JĂ©hovah du XXe siĂšcle et Les TĂ©moins de JĂ©hovah PrĂ©dicateurs du Royaume de Dieu. [Entrefilet, page 27] Lorsqu’il eut affaire Ă  des opposants, JĂ©sus dit Ă  ses disciples “Laissez-​les.” Que voulait-​il dire? [Entrefilet, page 29] “Heureux ĂȘtes-​vous quand on vous outrage, et qu’on vous persĂ©cute, et que l’on dit mensongĂšrement toute sorte de choses mĂ©chantes contre vous Ă  cause de moi.” — Matthieu 511. Icis'introduit une exigence centrale du Sermon sur la montagne : le refus de la violence. La non-violence Ă©vangĂ©lique n'est pas le refus du conflit (car comment faire rĂ©gner la justice sans entrer L’épilepsie est une maladie neurologique chronique qui peut se manifester par des crises de convulsions trĂšs impressionnantes. Il y a donc des gestes qu’il faut connaĂźtre pour protĂ©ger la victime. RĂ©digĂ© le 15/04/2010, mis Ă  jour le 06/11/2015 Lors d’une crise d’épilepsie, les neurones produisent une dĂ©charge Ă©lectrique anormale dans certaines zones du cerveau. SchĂ©matiquement, une crise convulsive se dĂ©roule en trois temps elle dĂ©bute par une perte de connaissance et une chute. Puis, le corps est pris de convulsions et s’agite de façon saccadĂ©e. AprĂšs cette phase, la victime reste inconsciente plus ou moins longtemps en ne garde en gĂ©nĂ©ral aucun souvenir de ce qui vient de se passer. Si vous ĂȘtes prĂ©sent dĂšs le dĂ©but de la crise, il faut soutenir la victime pour Ă©viter qu’elle ne se blesse lors de sa chute. Ensuite, lors des convulsions, il faut Ă©viter qu'elle se blesse et pour cela faire le vide autour d’elle en Ă©cartant les objets potentiellement dangereux. Si elle porte des lunettes, il faut lui retirer. Si cela est possible, placez un coussin sous la tĂȘte pour Ă©viter les chocs contre le sol. MĂ©morisez l'heure de dĂ©but de la crise, sa durĂ©e est une donnĂ©e important Ă  signaler aux mĂ©decins urgentistes. Contrairement Ă  une idĂ©e reçue, la langue ne peut pas ĂȘtre sectionnĂ©e ou avalĂ©e lors de la crise. Il peut y avoir des morsures de la langue. On recommande donc de ne rien mettre dans la bouche, surtout pas ses doigts car on risque de se faire mordre, et pas d’objets qui risquent de passer au fond de la gorge. Ensuite alertez les secours en composant le 15 ou le 18 on recommande d'appeler les secours que si la crise dure plus de 5 minutes, si la personne est seule, si elle ne reprend pas connaissance au bout de 10 minutes, si elle se blesse durant la crise. Une fois que les convulsions ont cessĂ©, si la victime est toujours inconsciente, il faut la placer en position latĂ©rale de sĂ©curitĂ©. Conseils pratiques Ă©loignez les badauds afin que la personne ne se rĂ©veille pas entourĂ©e par des gens qui la presseront de questions ou de commentaires dĂ©sobligeants. Rassurez-la quand elle reprend conscience et racontez-lui comment s'est dĂ©roulĂ©e la crise. Dernier conseil, mĂȘme si c’est impressionnant, il faut essayer de rester calme. Gardez Ă  l’esprit que la plupart des crises ne durent jamais plus de quelques minutes et qu’elles s’arrĂȘtent d’elles-mĂȘmes. Ce qu'il ne faut pas faire S'agiter et paniquer. Essayer d'asseoir la personne ou d'immobiliser les bras ou les jambes. Tenir la personne pendant la crise risque de blessure. Tenter de la stabiliser sur le cĂŽtĂ©, en position latĂ©rale de sĂ©curitĂ© dĂšs le dĂ©but de la crise. Vous risquez de lui dĂ©mettre l'Ă©paule. Lui faire prendre ses anti-Ă©pileptiques elle risque de faire une fausse route. Laisser la personne seule. Vouloir la rĂ©veiller de force durant la phase d'inconscience, qui termine la crise. Pour ne manquer aucune info santĂ©, abonnez-vous Ă  notre newsletter !
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GillesMorvan est un acteur, chanteur, musicien, adaptateur et directeur artistique [2] français.. Essentiellement actif dans le doublage, il est notamment la voix française de Rockmond Dunbar [2], Carlo Rota [2], Mahershala Ali [2], et Kevin James [2] ainsi que l'une des voix de Seth Rogen [2], Terry Crews [2], Vincent D'Onofrio [2], Bobby Cannavale [2] et Dwayne « The Rock »
ï»żPsaumes 371 David. Ne t’irrite pas contre les mĂ©chants, n’envie pas ceux qui font le mal, 2 car ils sont fauchĂ©s aussi vite que l’herbe, et ils se flĂ©trissent comme le gazon vert. 3 Confie-toi en l’Eternel et fais le bien, aie le pays pour demeure, et que la fidĂ©litĂ© soit ta nourriture! 4 Fais de l’Eternel tes dĂ©lices, et il te donnera ce que ton coeur dĂ©sire. 5 Recommande ton sort Ă  l’Eternel, mets ta confiance en lui, et il agira 6 il fera paraĂźtre ta justice comme la lumiĂšre, et ton droit comme le soleil en plein midi. 7 Garde le silence devant l’Eternel et espĂšre en lui, ne t’irrite pas contre celui qui rĂ©ussit dans ses entreprises, contre l’homme qui rĂ©alise ses mĂ©chants projets! 8 Laisse la colĂšre, abandonne la fureur, ne t’irrite pas ce serait mal faire, 9 car les mĂ©chants seront exterminĂ©s, mais ceux qui espĂšrent en l’Eternel possĂšdent le pays. 10 Encore un peu de temps, et le mĂ©chant n’existe plus; tu regardes l’endroit oĂč il Ă©tait, et il a disparu. Face aux injustices de ce monde oĂč des mĂ©chants rĂ©alisent leurs projets, il n’y a pas de paroles pour faire ce que seul le Saint-Esprit consolateur peut faire. Il nous rappelle que le succĂšs des mĂ©chants est bien Ă©phĂ©mĂšre tandis que la bĂ©nĂ©diction du juste qui tarde souvent durera elle, Ă©ternellement. Je sais que le Dieu des misĂ©ricordes et le PĂšre des compassions ne vous reprochera pas de ne pas avoir fait de lui vos dĂ©lices pour expliquer le fait que le dĂ©sir de votre coeur n’est pas rencontrĂ©. Ce sont des paroles de condamnation qui mettent le blĂąme sur vous pour votre Ă©tat. Nous sommes sous la grĂące qui nous traite mieux qu’on le mĂ©rite et non sous la loi qui condamne de ne jamais en faire assez. La justice n’est pas de ce monde, il y a des gens qui ne veulent pas d’enfants et qui dĂ©cident de les faire tuer tandis que d’autres en dĂ©sirent le plus au monde et restent stĂ©riles. Cela m’a fait rĂ©flĂ©chir beaucoup sur la question. Voici ce que j’en ai ressorti. Ce qui peut ĂȘtre choquant pour ceux qui sont lĂ©sĂ©s, c’est que JĂ©sus n’est pas venu amener la justice sur terre, on se serait attendu Ă  autre chose de lui qui est si bon et compatissant, mais il l’a fait remarquer dans le passage suivant. Luc 1412 Quelqu’un dit Ă  JĂ©sus, du milieu de la foule MaĂźtre, dis Ă  mon frĂšre de partager avec moi notre hĂ©ritage. 14 JĂ©sus lui rĂ©pondit O homme, qui m’a Ă©tabli pour ĂȘtre votre juge, ou pour faire vos partages? 15 Puis il leur dit Gardez-vous avec soin de toute avarice; car la vie d’un homme ne dĂ©pend pas de ses biens, fĂ»t-il dans l’abondance. La plus grande des injustices sur terre, c’est JĂ©sus qui l’a subi pendant son ministĂšre alors qu’il a Ă©tĂ© calomniĂ©, battu et crucifiĂ©. Le meilleur des hommes a pĂ©ri comme le pire des bandits, comme ceux qui Ă©taient chaque cĂŽtĂ© de lui. JĂ©sus dit que le serviteur n’est pas plus grand que son maĂźtre, tout disciple sera comme son maĂźtre Jean 1520, Luc 640. Cela veut dire qu’en ce bas monde, nous allons subir des injustices comme JĂ©sus et JĂ©sus nous demande de rester avec un coeur humble dans la foi. C’est dans le royaume de Dieu qu’il faut chercher sa justice, pas sur la terre Matthieu 633. Parfois nous aurons la grĂące de voir des injustices corrigĂ©es, mais parfois non. Plusieurs femmes stĂ©riles ont eu des enfants sur le tard et ils sont devenus de grands hommes de Dieu Isaac, Jacob, Samson, Samuel, Jean-Baptiste et j’en passe, nous, on s’encourage avec cette pensĂ©e. C’est le mĂȘme principe pour les cĂ©libataires, plusieurs vont rencontrer la personne qui fera leur bonheur Ă  un Ăąge oĂč on ne s’y attendait plus vraiment tandis que d’autres seront appelĂ©s Ă  honorer Dieu en demeurant dans la joie que procure la foi mĂȘme en l’absence de leur dĂ©sir le plus cher. En ce qui concerne le mariage, il ne faut pas oublier qu’il y a deux personnes d’impliquĂ©es, parfois Dieu peut avoir prĂ©parĂ© une personne pour le mariage mais celle-ci s’est dĂ©sistĂ©e, ce qui laisse en plan l’autre personne prĂȘte Ă  se marier. On vit dans une sociĂ©tĂ© oĂč beaucoup d’hommes prĂ©fĂšrent la vie de cĂ©libataire pour toutes sortes de raisons, dont plusieurs Ă©gocentriques. On ne sait juste pas de quoi l’avenir sera fait, Dieu nous demande de briller par la joie du Saint-Esprit et Ă  s’attendre au meilleur. Et si ce qu’on considĂšre ĂȘtre comme le meilleur se fait attendre dans ce siĂšcle, ce qui est vraiment le meilleur sera assurĂ©ment prĂ©sent dans l’ùre Ă  venir parce que JĂ©sus l’a promis et qu’il sera sur tere avec nous pour rĂ©gner pendant 1000 ans et s’assurer qu’il en soit ainsi ! Honorons Dieu devant ses anges en persĂ©vĂ©rant dans la foi, et une belle couronne nous attend ! PrĂ©c. Suivant .
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